Citation de leerooy jenkinsligne 29 tu n'as pas besion de faire la répétition de 'en' vu que tu as les virgules (mais tu peux les laisser fait comme bon te semble ;). )
et ligne 55 tu as oublié le n' de la negation
sinon je n'est vu que ça j'étais trop aspiré dans le reçit, je le touve très bien et je t'en félicite bonne chance pour la suite. ;)
incident intrigue jusqu'au plus haute sphère
Je me porta aussitôt volontaire
L'éloquence de Croasse fut toujours remarqué
savant qu'il n'hériterai jamais
Théodore pu suivre des études
Son intelligence fut remarqué
il c'est prit de passion
du repas servit à la cantine
toujours caché ses sentiments
Surtout qu'elle c'est déroulée en pleine journée.
j'aimerai pouvoir jeter un yeux
Vous avez fouillez la maison de fond en comble ?
Kazakus en reste bouché bée.
Je suis presque déçus
Le laboratoire de l'apothicaire au Temple est configurée pareil
comme de par hasard
Le peu d'homme impliqué
Que les Dessoudeurs ne s'emmêlent pas
Citation de lehellfincident intrigue jusqu'au plus haute sphère
plurielJe me porta aussitôt volontaire
Conjugaison passé simple : portaiL'éloquence de Croasse fut toujours remarqué
Accord : éesavant qu'il n'hériterai jamais
conjugaison conditionnel : aitThéodore pu suivre des études
Conjugaison Passé simple : putSon intelligence fut remarqué
Auxiliaire "être" --> accord : éeil c'est prit de passion
Celle là, elle est moche :/ : s'estdu repas servit à la cantine
Participe passé : itoujours caché ses sentiments
Infinitif : erSurtout qu'elle c'est déroulée en pleine journée.
Encore???...j'aimerai pouvoir jeter un yeux
singulier : œilVous avez fouillez la maison de fond en comble ?
participe passé : éKazakus en reste bouché bée.
Faute de frappe?Je suis presque déçus
Participe passé : uLe laboratoire de l'apothicaire au Temple est configurée pareil
Accord : écomme de par hasard
Syntaxe : on ne dit pas "de par hasard", mais "par hasard"Le peu d'homme impliqué
PlurielQue les Dessoudeurs ne s'emmêlent pas
"Ne s'en mêlent pas" plutôt, non?
Partie pas forcément intéressante mais nécessaire pour introduire/approfondir les personnages. Et pour évitez les gros pavés qui pop d'un coup :p Enjoy !
Nouveau pavé finalement x) 4 pages de libreoffice ! la suite tant attendue (ou pas après tout vous avez le droit de pas aimer :) fin du chapitre 2
- 3760 message(s)
18 Août 2017, 21:19Grade Émeraude
Prologue : The Phantom Legacy
« Ce monde brûlera. Que ce soit de ma main, ou de la tienne ! »
Partie 1 : The phantom's Shadow
Chapitre 1
« Inspecteur, on a trouvé un survivant parmi les décombres.
- Son nom ?
- Il refuse de parler. Sauf à vous.
- Amenez-le. »
Le suspect, menotté, est délivré dans mon bureau à l'heure convenue. Maintenant. C'était un oiseau. Portant la bure. C'est tout ce qu'on a sur lui. On l'installe dans mon bureau. Ce sera un face à face. Je m'assieds sur ma chaise.
« Alors, on va commencer par donner son nom et prénom.
- Croasse. Frère Croasse. Théodore Croasse. Ancien membre du Temple écarlate.
- Moi c'est l'inspecteur Fox. Bien, vous savez que cet incident intrigue jusqu'aux plus hautes sphères de l'administration. Et que vous êtes pour l'instant, notre seul suspect. Et à la fois, notre unique témoin. Nous allons reprendre depuis le début voulez-vous ?
- Bien sûr. Mais avant pouvez-vous...
- Je pose les questions. Après j'aviserai. »
Quelques mois plus tôt...
« Je me présente, je suis Frère Croasse. Avant d'entrer dans cette ordre, j'étais un enquêteur du paranormal pour le compte de l’Église de Hurlevent. Toutes ces affaires, malgré les apparences, furent résolu avec à la fin, une explication d'origine réelle et rationnelle. Mais à la longue, ces canulars à la chaîne commençait à me lasser et je souhaitais enfin me rendre réellement utile pour la société. C'est là que j'appris l'existence d'un ordre, « Le Temple écarlate », qui souhaitait combattre les maux qui ravageaient cette ville. Fondé par un Saint, Notre Saint, Saint Je me portai aussitôt volontaire et rejoignis les rangs de l'ordre. Composé d'un noyau dur de vétéran de la Croisade écarlate, compagnons de route de Thalnos, ils ont une expérience solide dans la purification et dans la reconversion. Le reste est formé, soit d'anciens prêtres comme moi soit de jeunes recrues sortant d'école de théologie comme certains d'entre-vous et pour les autres, de pauvres âmes que notre seigneur a sauvé et conduit vers la lumière. Mon disciple ici présent est d'entre-eux. Il est l'exemple d'une jeunesse qui refuse de tomber dans le crime et le pêché. Mais son cas est encore trop exceptionnel pour s'en réjouir. Nous devons continuer la lutte. En protégeant les populations, les soignant, les logeant, les nourrissant et en priant pour eux, ramenons-les vers le droit chemin. »
Les nouvelles recrues applaudirent. L'éloquence de Croasse fut toujours remarquée. C'est bien pour ça qu'il était chargé de la formation des bleus. Il descendit de son estrade et invita les tous nouveaux membres de l'ordre à visiter le temple. Son disciple admirait son maître. Son intelligence et son éloquence ne font pas tous. Sa liberté de penser, sa souplesse morale et sa vivacité autant morale que physique ont toujours su l'impressionner. Il sait quand il faut réfléchir, penser suivant les enseignement de l’Église, ou quand s'en éloigner. Croasse lui, n'a jamais admit ses qualités. Il est aussi modeste que ses origines. Il venait de la campagne profonde. Le benjamin de la famille, savant qu'il n'hériterait jamais d'une quelconque parcelle, décida alors de se faire prêtre. Espérait-il au moins manger à sa faim et dormir sous un toit. Mais ce qui finalement n'avait l'air que d'un échappatoire se révéla être une chance. Théodore put suivre des études qu'aucun membre de sa famille n'aurait pu espérer. Son intelligence fut remarquée et ses professeurs firent en sorte qu'il puisse suivre les meilleurs voies universitaires. C'est ainsi qu'il se retrouva à Hurlevent. Il se passionna pour la magie noire, les Dieux Très Anciens, les démons et autres mystères paranormaux. Il devint rapidement enquêteur. Il fut très vite reconnu pour son travail. En son disciple, il reconnut ces mêmes qualités. Il le prit sous son aile alors qu'il n'avait que 8 ans. Il arrive enfin au bout de la formation. Et comme son maître, il s'est prit de passion pour les frontières entre réalité et paranormal.
« Maître, vous êtes pensif, que ce passe t-il ?
- Tu ne lis pas les nouvelles ? Il y a eu une nouvelle boucherie dans le centre-ville. Sûrement des règlements de compte.
- Et ? N'est-ce pas monnaie courante ?
- Le sergent Sally nous appelle à la rescousse.
- Ah. Je vois. Une affaire impliquant un confrère ?
- Non. Du surnaturel. Mon passé me rattrape. Nous sommes convoqués dans 1 heure. Prépare ton sac Kazakus. »
Convoqué par la police elle-même ? Le disciple n'en revenait pas. Et cela n'augurait rien de bon. Cela sent le souffre pense-t-il. Le maître lui, espérait rentrer suffisamment tôt pour pouvoir profiter du repas servi à la cantine. Fish ans Chips ce soir. Il semblait serein. En apparence. Il a apprit à toujours cacher ses sentiments, ses pensées. Lui aussi, sent que cette affaire ne sera pas comme les autres. Ensemble, ils se rendent sur les lieux du crime. Le centre-ville a été bouclé par la police de Gadgetzan. En réalité, cette police à la fois corrompue et dépassée par les événements, peine à établir l'ordre. Les deux gangs imposent leurs lois sur leurs territoires. Mais en réalité, c'est l'Hôtel des ventes et son conseil d'administration de la ville qui dirige la ville. C'est eux qui achètent et revendent à travers Azeroth toutes les marchandises des criminels et qui blanchissent leurs capitaux. Et le directeur n'est autre que le maire, Brouillecaboche, soutenu par Breado notamment. Et par combien d'autres petites frappes ? Son emprise sur la ville est quasi totale. En tous cas sur les bas-fonds. Mais il y a t-il autre chose que des bas-quartiers à Gadgetzan. Finalement, ceux qui tentent vraiment de sauver les populations, de les sortir de leurs misères, ce sont des ordres religieux pour la plupart et quelques organisations mercenaires avec encore des idéaux de noblesses. Souvent des vétérans limogés à la fin des guerres entre l'Alliance et la Horde. Mais leurs méthode sont-elles réellement moins crasseuses ? Gadgetzan c'est tous ça à la fois. Une ville atteinte d'un cancer, dont la tumeur ne cesse de croître. Mais cessera t-elle un jour de progresser ? Théodore espère l'enrayer. Mais il y arrivera t-il ? Ce questionne Kazakus. La beauté de ce soleil continentale d'après-midi tranche avec l'étouffante atmosphère terrestre. La bise maritime ne peut rafraîchir l'ébullition des esprits. Des journalistes tentent de grappiller le tant soit peu d'informations sur cette tuerie. Surtout qu'elle s'est déroulée en pleine journée.
« Vous voilà ! Vous savez vous faire attendre vous ! Allez, plus de temps à perdre.
- La précipitation n'apporte que peu de bienfait à l'esprit.
- Par contre elle me permet de choper les criminels plus vite. Bon je vous fais le topo. 3 morts. Aucuns témoins. Aucunes traces de balles, d'armes blanches. Pas de traces de combat. Sauf ça. Soulevez leurs vêtements au niveau du dos.
- Théodore souleva la tunique, elles sont énormes ! Même un Worgen ne peut laisser de telles empreintes.
- C'est bien ça le soucis, aucune chose ne peut faire ça. Et qui plus est en plein jour. Même si apparemment cela a eu lieu dans l'arrière-cour de cette maison.
- Quelles sont leurs identités, demande Kazakus.
- On en connaît qu'un, Iwao Takamoto. Il est connu de nos gars. Un petit chef de quartier pour la mafia pandaren. En tous cas, cela soulève plusieurs questions. Un, comment 3 types, entraînés à tuer et expérimentés ont pu disparaître en toute discrétion ? Deux, de quoi ils sont morts ? Trois, pourquoi sont-ils morts ? Et quatre, qui ?
- Et pour vous cela relève du surnaturel Sergent ?
- Je connais votre carrière Frère Croasse. Je connais aussi votre scepticisme par rapport à tous ce qui touche au domaine de l'étrange. J'imagine que ça, c'est pour vous un règlement de compte entre Dessoudeurs et Jade, maquillé sous des apparences faussement surnaturelles.
- Et bien avant de me faire un avis là-dessus, j'aimerai pouvoir jeter un œil sur la scène de crime.
- Suivez-moi. Sally les conduits dans la maison. C'est une boutique de potions. Clandestine évidemment. L'apothicaire reste introuvable.
- Vous avez fouillé la maison de fond en comble ?
- Vous croyez ? Dit-elle en jetant un regard glacial à Croasse.
- Voyez-vous, les apothicaires ont souvent une... un crissement de parquet se fait entendre, Sergent repassez ici. Le même son, retirez ce tapis, ordonna t-il. Ah, voilà, le vieux coup du tapis qui cache une trappe. Moi et mon disciple allons jetez un coup d’œil. Restez-ici, je vous conseille de regardez dans la bibliothèque, en particulier le livre sur les recettes de croquettes pour chien. »
Sally et ses coéquipiers se ruèrent sur la bibliothèque. Théodore et Kazakus descendirent l'échelle.
C'était un tunnel, à 5 mètres de la surface. Éclairé par des bougies, posées dans de petites niches. Ils progressèrent dans le tunnel. Au bout, une petite grotte où l'apothicaire confectionnait ses potions. Mais si le labo occupait la façade gauche, le reste de la grotte semblait inoccupée. Kazakus se met à fouiller dans le labo.
« On prend nos indices ? Ou on les laissent à la police ?
- Qu'est-ce que tu veux qu'ils en fassent ? Prends tous ce qui te semble utile. Pendant que Kazakus recherche une quelconque trace d'une potion interdite, ce qui justifierait le massacre, Théodore palpe le mur droit. Quand soudain il s'exclame, Eurêka ! Voilà ce que je cherchais. Il enfonce une pierre qui se révèle être mobile. Un pan du mur s'ouvre. Kazakus en reste bouche bée.
- Mais c'est pas un truc d'histoire pour enfants ?
- Je suis presque déçu, vu comment notre homme a tué ces types, je m'attendais à plus d'inventivité de sa part. Le laboratoire de l'apothicaire au Temple est configuré pareil. Ah mais elle vide cette cache, comme par hasard. »
Il ne reste qu'un coffre vide. Théodore manipule le coffre, histoire de voir si il ne renferme pas d'autres choses intéressantes. Kazakus continue son investigation du côté de l'armoire, fermée à double tour. Enfin, était fermée. Mis à part des potions somme toute classiques, rien de vraiment transcendant. Rien qui ne semble justifier la présence des cadavres pandarens ici.
« Les mêmes potions que chez nous. Un vendeur lambda. Mais que pouvaient-ils bien chercher ici ?
- On le saura tôt ou tard Kazakus. On emporte le coffre. Son code complexe confirme qu'il gardait quelque-chose de précieux. Allez on rentre.
- Et la bibliothèque ?
- Oh ça ? C'est juste pour que la police nous fiche la paix. Elle risque pas de bouger, vu qu'elle donne sur la ruelle extérieure. À la limite, ils découvriront la sortie de secours. »
Effectivement, la police s'entêtait sur cette bibliothèque. À telle point que Sally ne remarqua même pas que les deux compères s'en allèrent. Ils repartirent en direction du temple. Mais cette affaire troublait Croasse. Kazakus le sentait. Le mystère donne plus de fil à retordre que prévu. Mais surtout ce coffre. Que renfermait-il ? Que cherchait à défendre l'apothicaire, que recherchait la mafia pandaren ? Le peu d'hommes impliqués dans cette affaire ne signifie absolument pas que cette dernière est négligeable pense Croasse. Elle démontre surtout que les pandarens ne veulent pas ébruiter l'affaire. Que les Dessoudeurs ne s'en mêlent pas. Ce qui rend le dossier explosif.