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La pêche aux moules est votre passion ? Parlons-en ici.

Citation de Demon22TrollandGoblin, histoire intéressante mais trop confuse. On a du mal à comprendre si le docteur rencontre le patient pour la première fois ou non, puisque le texte va dans les deux sens, on a aussi du mal à saisir l'attitude du corrompu (peut-être que les mots employés ne sont pas toujours les bons). Et le docteur manque vraiment de professionnalisme. ^^
Finalement, un peu moins de fautes, et ça sera beaucoup mieux! o/

Merci pour ton commentaire constructif ^^ Je prends note de tout. Pour le fait que l'on ai de la peine à savoir si s'est sa première fois qu'il voit le patient, c'était voulu ^^ Je voulais que l'on ai ce doute. Néanmoins pour le docteur...ça je vais tacher de corriger. Encore merci, bonne fin de journée ;)
sauronr
  • 664 message(s)
28 Mai 2017, 15:36
Citation de Demon22Je ne suis pas violent, je suis constructif. Et une histoire bien écrite, c'est une histoire qu'on peut comprendre en la lisant d'une traite, mais qui nous donnera envie de la relire plusieurs fois, pas l'inverse. ^^


Je m’avoue vaincus t'ont argument est trop bon ;)
Demon, tu pourrais faire le même genre de com' pour mon histoire du villageois possédé ?
Demon22
  • 2229 message(s)
28 Mai 2017, 16:11
Bien sûr, dès que j'aurai retrouvé le sujet. ^^
Mais il me semble avoir déjà répondu dessus, non?
Oui, mais t'as pas vraiment fait de critique ^^
Quémander des critiques ^^ j'aurai tous vu dans ma vie xD
Citation de IronOfdragoonsQuémander des critiques ^^ j'aurai tous vu dans ma vie xD

Tu peux mourir en paix ^^
Tit'
  • 2998 message(s)
28 Mai 2017, 19:22
Citation de IronOfdragoonsQuémander des critiques ^^ j'aurai tous vu dans ma vie xD


Sauf le Projet M :p
Citation de Tit'
Citation de IronOfdragoonsQuémander des critiques ^^ j'aurai tous vu dans ma vie xD


Sauf le Projet M :p

Peut-on me dire ce qu'est se foutu projet M ?!
Ah oui, j'ai écrit cet aprèm. J'ai pris note de tes critiques Demon, et j'ai essayé d'améliorer le tout. Par contre par rapport à l'orthographe, je suis encore désolé mais pas dit que ce soit mieux ^^ Néanmoins je vous souhaite à tous une bonne lecture :

Interrogatoire numéro 2 :

J’avançais. C’était mon deuxième rendez-vous avec lui. Erebus Kaerebas. Ce nom me faisait froid dans le dos. Le docteur Hershell Braygan avait effectué seulement cinq interrogatoires avant de tuer sa propre fille et de perdre la raison. Avant lui, deux médecins s’étaient occupés d’Erebus : ils se sont entretués en se coupant mutuellement la gorge. Et maintenant c’était mon tour. J’étais terrorisée. Le premier rendez-vous avec Erebus avait été court. Je m’étais simplement présentée avant de commencer à me sentir mal. L’interrogatoire c’était terminé brusquement. Et aujourd’hui je devais y retourner, me frotter à ce psychopathe.

J’étais donc dans le couloir. J’arrivais devant la cellule. L’atmosphère était pesante. J’y pénétrais. Toujours cette odeur insupportable, ainsi que ces murs gris. Au centre de la pièce, toujours sur sa fidèle chaise, Erebus m’attendait. Pour cette fois il n’y avait que nous deux. Les médecins avaient pris la décision de ne pas repartir sur une optique d’ « interrogatoire musclé ». Nous étions tous les deux silencieux. Je pris la parole, timide : « Bonjour Erebus.
- Bonjour docteur.
- Je suis ici pour votre deuxième interrogatoire. J’ai ici une liste de question pour vous. Veuillez-vous contenter d’y répondre.
- Vous semblez tendus docteur. Je vous effraie ? dit-il l’air surpris.
- N…non, pas du tout.
- Votre prédécesseur avait lui aussi peur de moi. Je vous l’avais dit n’est-ce pas ?
- Je voudrais commencer Erebus !
- Vous êtes terrifié ma parole ! Pourquoi venir dans cet état-là ?
- Première question…
- Vous devriez vous reposer, sincèrement docteur.
- Co…comment vous appelez-vous ?
- Erebus Kaerebas. Me répondit-il en poussant un grand soupire.
- Qui êtes-vous ?
- Tiens, ça s’est nouveau ! A votre avis docteur ?
- Je vous ai dit de vous contenter de répondre.
- S’est bien, vous êtes fermes docteur. Vous êtes une femme forte, et s’est rare.
- Je vous réitère la question : qui êtes-vous ?
- Vous êtes fortes. Oui, forte à l’extérieur mais vous êtes faibles à l’intérieur.
- Erebus !
- Et vous n’avez aucune autorité sur moi…car vous êtes une femme. »
Je lui flanquais une violente gifle. Il ne s’y attendait probablement pas car il tomba à terre, l’air sonné. « Une femme de caractère, assurément.
- Je pensais avoir été clair Erebus.
- Veuillez m’excuser, madame.
- Mademoiselle !
- Toutes mes excuses.
- Bien, reprenons : qui êtes-vous ?
- Selon vous un cinglé qui à tuer sa femme. Selon moi un brave serviteur, dévoué à son maître.
- Qui est ce maître ?
- Cela fait partis de votre questionnaire, docteur ?
- Mon prédécesseur l’avait noté. J’ai donc repris cette information. Maintenant répondez.
- Comme si j’allais tout balancer. A une femme en plus !
- En…en l’occurrence Erebus, je ne suis pas une femme, mais votre docteur. Restez polis !
- Moi, polis ? Vous avez de l’espoir. S’est bien, il en faut pour réussir, surtout quand on est une femme.
- Avez-vous un problème avec les femmes ?
- Absolument pas. Je les trouve simplement si belles, si séduisantes. Aucune ne me laisse indifférent.
- Un homme typique. Et cela ne sert à rien d’essayer de me flatter.
- J’ai dit que j’aimais les femmes, et non les docteurs. »
Il semblait ravi. D’une certaine façon il m’avait piégé. « Et puisque nous en sommes aux questions : qui êtes-vous, vous ? me demanda-t-il, en me fixant avec ces grands yeux perçants, et ses sublimes pupilles vertes.
- Je suis…je suis votre docteur. Et j’aimerais terminer mon interrogatoire. Alors restez tranquille, s’il vous plait.
- Je n’attends que vous.
- Qui est ce maître ?
- Le maître. Celui qui me dicte quoi faire.
- Et qui est-il ?
- Cela fait partis de votre questionnaire ? dit-il ravis, l’air de n’attendre aucune réponse.
- Je…j’ai le droit de vous poser d’autres questions si je le souhaite.
- Fort bien, mais je respecterais votre consigne, et me contenterais de répondre aux questions du questionnaire. D’ailleurs je me demande quand est-ce que vous vous déciderez à changer de méthode. Je suis très fort aux interrogatoires.
- Je n’ai jamais dit ça.
- Vous avez dit que je devrais répondre à la liste de questions.
- Et bien je modifie la consigne, puisque vous avez l’air de jouer au plus malin.
- Et bien je refuse de répondre à votre question.
- Vous n’avez pas le droit.
- Le code du détenu m’autorise à mettre à exécution mon droit de véto, pour une seule question.
- Vous l’avez-lus ?
- Oui, dans votre esprit. Il est affiché en grand dans votre esprit. Vous y pensez, comme vous avez pensez à votre fiancé avant d’entrer dans cette pièce. Vous avez pensé à votre futur mari car vous savez qu’il vous trompe, et que vous ne faites rien ; vous êtes impuissantes. Et bien là vous êtes impuissantes et vous mentez. Regrettable.
- Arrêtez tout de suite.
- De quoi docteur ? De lire dans votre esprit. Il est vrai qu’il y a tant de choses cachées qu’il ne faudrait pas révéler. Si seulement vos proches savaient comment vous payez votre logement. Prostituée…le métier de docteur ne paye pas beaucoup à ce que je vois, du moins docteur dans l’asile d’Hurlevent.
- Arrêtez…
- Vous ne voulez pas savoir qui est le maître ? Je pourrais vous le murmurer à l’oreille si vous voulez.
- Erebus…
- Si vous voulez savoir il va falloir m’ouvrir votre esprit.
- C’est du chantage…
- Non, un marcher. Comme celui que j’ai passé avec le maître. Et il y a un prix à tout marcher.
- Arrêtez !
Ma main repartis. La gifle fut encore plus violente. Il s’y attendait cette fois. Il la prit de plein fouet mais resta en équilibre sur sa chaise. « Vous êtes ravissante quand vous vous énervées docteur. » Une troisième gifle. « Mais vous le seriez encore plus à mes côtés. Alors pourquoi rester dans cet endroit, avec ce mode de vie ? Je vous offre la liberté, docteur. Alors pourquoi refuser ?
- Vous ne savez rien.
- Rien ? Le fait de savoir qui est votre père, je n’appelle pas ça rien. Vous manquez de professionnalisme et vous le savez. D’autres vous l’ont déjà dit. Et votre écriture, parlons-en de votre écriture. Orthographe n’est, apparemment pas votre fort.
- Arrêtez ! Arrêtez, arrêtez, arrêtez, arrêtez !!!!
- Votre esprit est faible docteur ! Et vous voulez vous occuper de moi ?! Commencez d’abord à vous occuper de vous, docteur !
- Cessez Erebus !
- Vous allez me frapper ?! Et ensuite ?! Continuer ?!
- Cessez !!!
- Alors répondez : qui êtes-vous ?!
- Je ne sais pas, je ne sais plus, je…je…laissez-moi !
- Et nous revoilà à la case départ, docteur. Mais à la différence d’avant, maintenant s’est moi le docteur, et vous le patient. Et s’est moi qui pose les questions.
- Je…je suis…
- Non, vous n’êtes plus obliger de répondre docteur. Il vous faut juste dormir.
Je ne me souviens pas du reste. Je sais qu’il à poser sa main sur mon front et que j’ai perdue connaissance. Mais s’est tout.

« J’ai du mal à dormir ces derniers temps, mes yeux changent de couleurs, et j’ai d’importantes griffures dans le dos. » Fin de rapport, Maelva sang-pourpre.

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