



Citation de Demon22Pas trop mal, mais pour moi il y a encore du travail à faire. ^^
Il s'agit surtout de formulations incorrectes à retravailler, et du texte à mieux structurer afin de le rendre plus "lisible" pour le lecteur. Parce que même si l'effet est très réussi, il est assez difficile de toujours repérer qui dit quoi. Pas mal pour embrouiller, mais ça diminue un peu la qualité du récit. Après tout, savoir ordonner son texte, cela fait aussi partie de l'art de l'écriture. o/
Citation de sauronr
Pour me faire un peu de pub et puis tout les truc cool ont un symbole
Citation de DarkSkywalkerCitation de sauronr
Pour me faire un peu de pub et puis tout les truc cool ont un symbole
xDD
taverne des auteurs amateurs pas anonymes ^^
Citation de TrollandGoblinHello les gars ! Voici une petite histoire, sans grand rapport avec les autres que j'ai pus écrire mais que j'ai faite hier soir. Bonne lecture !
« Vous savez docteur, je ne suis pas dingue. Non, je suis bien plus que ça. Je suis la conmvoitise de l’être humain, je suis la haine de l’hummanité, je suis la mauvaise conscience qui vous sussure son venin dans l’oreille, je suis la mort qui toque à votre porte et qui récupère votre existence, docteur…je suis le fou d’Hurlevent ! »
Interrogatoire numéro 1 :
Le traitement du patient nommé Erebus Kaerebas ne semblait pas avancer. Ce dernier restait toujours aussi cinglé. Néanmoins nous allions procédés à des interrogatoires plus « musclés ». Il fallait tenter des choses, et la force brute pourrait probablement nous aider. Je me rendais donc dans la cellule du détenu. Je m’en rappelle bien. Cette cellule qui empestait le cadavre en décomposition ainsi que les organes pourris…répugnant ! Mais je devais m’en tenir aux ordres que j’avais reçu : il fallait que je lui pose une simple série de questions idiotes, rien de plus.
J’entrais dans cette pièce, grise et insipide. Erebus se tenait là, devant moi, assis à une chaise. Deux gardes l’entouraient. Ils avaient chacun des matraques. Pourtant ce dernier n’avait nullement l’air inquiété. Le premier détail qui me frappa, après son attitude déstabilisante, c’était ses pupilles. Sur les photos elles étaient vertes, mais là elles étaient d’un orange éclatant. Il me regardait fixement, un grand sourire malsain tracé sur ses lèvres, l’air ravis de me voir.
Je voulu engager la conversation mais il me devança. « Bonjour docteur. Comment allez-vous ?
- Très bien Erebus, et vous ?
- Ma fois très bien. Votre fille va mieux ?
- De quoi ? Ma fille ?
- S’est-elle remise de sa varicelle ?
- Je…comment l’avez-vous sus ?!
- Voyons docteur : vous n’avez toujours pas compris ? Je peux prendre le contrôle d’esprits fragiles. Et il se trouve que la directrice en a un. Du moins il ne me résiste en aucun cas.
- Oui…elle s’en est remise…elle va beaucoup mieux d’ailleurs.
- Magnifique ! Vous la saluerez bien de ma part.
Je commençais déjà à suer. Il m’avait totalement déstabilisé et je ne m’y étais pas préparé. Il a continué tranquillement. « Alors, qu’avons-nous aujourd’hui, toujours ses questions banales et inintéressantes ?
- Je le crains Erebus, dis-je en faisant signe à l’un des gardes de venir. S’il devient agressif ou impertinent je compte sur vous.
- Bien monsieur, répondis la masse de muscle avant de revenir se positionner à côté d’Erebus.
- Bien, je vais commencer calmement : comment vous appelez-vous ?
- Erebus Kaerebas, tout simplement, dit-il en levant les yeux au ciel.
- Pourquoi avez-vous commis tous ses crimes ?
- Ahhh, enfin on arrive à des questions intéressantes ! A votre avis ?
- Monsieur, dis-je en faisant un signe discret du sourcil à un des gardes.
- Répond au lieu de jouer au con, lui dit-il en lui flanquant un violente gifle.
- Ahhh, répugnant. Vous n’avez aucune idée ? Très bien. Vous voulez que je commence par quoi ? Le début ? La fin ? Le milieu ?
- Erebus, je vais être clair : je n’ai pas toute la journée avec vous, contentez-vous de répondre et tout cela prendra fin.
- Comme s’est regrettable ! Moi, par contre, j’ai toute la journée. Et je suis prêt à continuer longtemps. Alors je vous conseille de rester polis ou je dévore vos collègues…et si j’ai encore faim je ferais de même avec vous.
Je regardais les deux armoires à glaces à ses côtés. Ils portaient une sorte d’uniforme gris, en armure plaquée. Ils avaient chacun une batte à l’aura vert très peu rassurant. L’un deux pris Erebus par le col. Ce dernier se laissa faire. Un violent coup de poing vint s’abattre sur son crâne. Puis un deuxième. Le garde le reposa à sa place. « Vous en voulez encore ? Lui demandai-je intrigué.
- J’adore ça, docteur.
- Je vais finir par vous tuer, vous le savez ça ?
- Faites-moi mal ! J’aime ça. S’écria-t-il brusquement.
Je le regardais perplexe. « Alors docteur, qu’est-ce que ça fait d’être pris à son propre jeu ? La violence ne fonctionne pas sur moi. Vous pouvez dire à vos deux asticots baraqués qu’ils peuvent disposer. » L’un des deux gardes eut l’air offensé et voulu lui asséner un coup de poing, mais Erebus l’évita et lui flanqua à son tour un violent coup de pied dans les parties génitales. Le garde, malgré son armure, était démunis à cet endroit-là, et se tordis de douleur. Le deuxième voulu se jeter sur lui, mais Erebus se libéra des chaines qui le retenaient et lui saisis le cou. Il le rapprocha de sa mâchoire puissante et le mordit jusqu’au sang. Je pus entendre sa gorge se trancher, ainsi que sa colonne vertébrale se briser. L’autre surveillant, toujours à terre se munit de sa batte et voulu lui asséner un coup à la jambe, mais Erebus fut plus rapide, saisit l’objet et lui tordis le bras. Il se pencha à hauteur de sa tête et ouvrit grand la gueule. Il mordit son nez jusqu’à l’arracher, avant de l’étrangler, le visage ensanglanter. J’étais totalement paniqué. Je voulu sortir mais il m’attrapa par le col de ma chemise : « Cet interrogatoire n’est toujours pas terminé docteur. Je vous en prie asseyez-vous.
- Je…bien…ou en étions-nous ? dis-je confus.
- Vous vouliez savoir pourquoi j’ai fait tout ça.
- Ah !
Erebus ses tenait juste à côté de moi. Il sorti une sorte de cigarette et me regarda. « Vous en voulez une ? demanda-t-il amicalement.
- Je ne fume pas. Je vous en prie Erebus asseyez-vous !
- Vous semblez avoir peur, je vais donc m’exécuter, je ne voudrais tout de même pas faire de tort à mon docteur préféré. dit-il en riant.
- B…bien. Répondez s’il-vous plaît.
- Le maître voit ! Ce que dis le maître nous devons le faire ! Comprenez ça docteur. Il n’y a pas à chercher plus loin.
- Et qui est ce maître ?
- Ça fait partie de votre questionnaire ? me demanda-t-il, ravis ?
- Non, malheureusement.
- Vous m’aviez assuré que vous vous en tiendrez au questionnaire. Je vous en prie continuez.
- Votre femme, vous vous en souvenez ?
- Bien sûr. Cette brave bourgeoise que j’ai assassiné dans ma propre cuisine. Ses cheveux…si soyeux !
- Alors que lui avez-vous fait ?
- Je lui ai planté mes griffes dans le dos voyons ! Le maître à fixer un prix !
- Vous ne vous en voulez pas de lui avoir ôté la vie ?
- Absolument pas ! Je n’ai aucun remord ! Ce que veut le maître, je le fais.
- Bien, il ne me reste que deux questions.
- Chic, je pourrais vous laisser et profiter de mon diner !
- Comment vous appelez-vous ?
- Le corrupteur.
- Pardon ?
- Erebus Kaerebas. J’ai dit autre chose ?
- Je crois bien. J’ai entendu la sonorité « corrupteur ». S’est bien ça ?
Erebus pris un air très sévère. « Donner moi ce caillé. Donnez-moi ces notes !
- Je ne peux pas !
- Donnez ! s’écria-t-il en me l’arrachant de toutes ses forces. Il arracha quelques pages et me le redonna. Vous pouvez continuer, je vous en prie.
- Qui vous à pousser à faire ça ?
- Le maître ?
- Et qui est-ce ?
- Ça fait partie de votre questionnaire docteur ?
Je pris une mine déconfite. Je sortis, totalement déconcerté.
Le reste de la journée me parus vide, comme si rien n’était intéressant. Les patients étaient ennuyants, et je n’éprouvais plus aucun plaisir à discuter avec des gens que j’appréciais. Le soir, je rentrais chez moi, quand je commençais à avoir des migraines. Une fois à la maison, après avoir traversé tout Hurlevent, je pris un médicament afin de me soigner. J’étais dans la salle de bain. Je fus surpris par la petite voix de ma fille. Elle avait sept ans, des cheveux blonds et des yeux noisette. « Tu es rentré Papa ? me dit-elle avec une petite voix.
- Oui ma puce, Papa est de retour. Oh si tu savais comme tu m’as manqué ! ça me fait tellement plaisir de te voir.
- Moi aussi Papa ! Et sinon, tu n’as rien à me raconter ?
- Papa est fatigué, il te racontera demain mon trésor. Allez, vas dormir.
Ma fille disparue dans sa chambre. Je me déplaçais dans la salle à manger. Là, se trouvait un grand miroir. J’y enlevais ma veste de cuir, quand j’entendis une voix familière dans mon dos. « Vous ne la saluez pas de ma part, docteur ? »
Mon nom est Hershell Braygan et j’ai tué ma fille.
- 2229 message(s)
27 Mai 2017, 23:14Grade Or
Il s'agit surtout de formulations incorrectes à retravailler, et du texte à mieux structurer afin de le rendre plus "lisible" pour le lecteur. Parce que même si l'effet est très réussi, il est assez difficile de toujours repérer qui dit quoi. Pas mal pour embrouiller, mais ça diminue un peu la qualité du récit. Après tout, savoir ordonner son texte, cela fait aussi partie de l'art de l'écriture. o/