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La pêche aux moules est votre passion ? Parlons-en ici.

Citation de sauronrGardien Who Partie 2


Arthas fonça sur le golem d'argenterie. Gardien, le voyant arriver eut peine à puiser dans ses dernières forces magiques et créa un bouclier qui repoussa l'attaque du Paladin. Alors que son adversaire se préparait à lui porter un deuxième coup qui serait fatal à sa vielle carcasse de golem, un homme cria «  Seigneur, une goule , le fléau nous attaque ». Son adversaire eu un moment d'inattention qui permit à Gardien de se libérer, mais il n'avait pas eu le temps de se reposer qu'une Goule lui fonça dessus ; alors il lança un projectile des arcanes qui fit exploser le mort-vivant en plusieurs morceaux. Il se souvint de ce sort ; il l'avait appris dans un vieux grimoire de Malygos qui s'intitulait « La magie pour débuter de A àZ », ce grimoire le dragon voulait le jeter mais il s'y était formellement opposé, il détestait que l'on jette les affaires même vieillies et usées.

Le combat, lui, continuait , les deux soldats étaient aux prises avec les goules. Le premier trancha littéralement la tête de son adversaire. Le deuxième, lui, combattait trois ennemis : il réussit à esquiver les coups de deux de ses ennemies mais le troisième lui porta un coup au ventre qui déchiqueta ses entrailles ; alors, les trois mort-vivant se précipitèrent sur lui pour manger son cadavre. Arthas, lui, s 'en sortait plutôt bien : il brûlait ses adversaires à l'aide de jets de lumière.

Les ennemis arrivaient de plus en plus nombreux. Le soldat, le paladin et le golem commençaient à être débordés. Gardien demanda à Arthas s'il pouvait puiser dans son mana pour lancer un puissant sort comme il n'en n'avait plus. Le combattant eu un doute puis, voyant que c'était la seule solution, il accepta. Le Golem d'argenterie draina la puissance magique puis il lança une pluie de projectiles des arcanes, exterminant les ennemis un par un. Le soldat regarda le golem très surprits; Arthas lui ne le fut pas le moins du monde et dit :

« - Tu t'entendrais bien avec une de mes amis
-Qui ça ? Dit le golem
-Jaina. Mais elle n'est pas ici ; elle a refusé de m'accompagner , elle dit que je change en mal. Mais trêve de bavardages allons au camp reprendre nos forces.
-Et que faites vous ici seigneur ?
-Ne m'appelez pas seigneur mais Arthas. Et si je suis ici c'est pour tuer Mal'ganis ; c'est lui qui commande le fléau contrairement à ce qu'il dit mais ses sûrement l'une de ses ruses »

Gardien discuta avec le soldat , il était grand , fort avait les cheveux noirs et les yeux verts ; il souriait tous le temps - même lorsqu'il tuait - il apprit qu'il s'appelait Balor, sa femme et ses enfants (une fille et un garçon ) avaient été tués par le fléau. Ancien mercenaire, il s'était engagé auprès d'Arthas pour se venger. Le golem lui, raconta son histoire mais lorsqu'il demanda à Balor quelle mission il avait accomplit en tant que mercenaire, le soldat refusa catégoriquement de lui répondre mais il dit qu'il voulait racheter ses actions passées, ce qui parut fort intriguant au le voyageur temporel.

Après deux heures de marche, ils furent enfin arrivés au camp mais ils n'eurent pas le temps de se reposer que déjà arrivait un soldat chargé d'explorer la zone. Il dit qu'il avait vu un groupe de hauts-elfes aux prises avec des morts-vivants. Arthas demanda aux soldats s' il y avait des volontaires pour aller les secourir car lui n'irait pas. Il n'y avait aucun volontaire jusqu'au moment où Gardien dit : « Moi, j'irai ». Alors, à ce moment-là, Balor parla « Si tu y vas, j'irai avec toi mon nouvel ami. » . Le paladin les regarda tous les deux et leur adressa la parole :
« -À deux, c'est vraiment une mission suicidaire, même avec une magie comme la tienne golem
Et il est indigne d'un paladin d'abandonner des innocents ! répondit Gardien
-Soit. Vas-y puisque tu y tiens tant mais sache que moi je préfère tuer Mal'ganis et ainsi arrêter cette folie »

Gardien et Balors suivirent les indications du soldat et trouvèrent le campement des elfes. Lorsqu'ils arrivèrent, ils virent un vingtaine de cadavres à moitié dévorés et six combattant encore debout, les rang de leur adversaires étaient composés d'une cinquantaine de goules, trois abominations et une dizaine de gargouilles. Les cadavres de deux sorcier gisaient par terre ainsi que celui de deux abominations, de quelques gargouilles et d'une centaine de goule. Les elfes ici présent étaient donc de farouches combattants mais les archers n'avaient plus de flèches (il y en avait deux dont une elfe de la nuit). Les zombies ailés prenaient donc l'avantage. Le golem et le soldat foncèrent pour les aider. Gardien, au passage, lança un projectile qui fit exploser une gargouille. Une guerrière elfe tourna la tête pour les regarder et une abomination lui explosa le crâne, les goules se précipitèrent pour manger son cadavre.

À suivre

Pouvez vous me dire comment amélioré mon texte se que vous avez aimé pas aimés ? Votre avis quoi.


Je trouve ton histoire assez sympathique, elle me rappelle les premiers récits que j’ai écrit (beaucoup de combats, d’actions, et très peu de parlotte. Tout s’enchaîne et ça va assez vite.). Donc sur ce coup là tu marques un point. Néanmoins fait attention à certains mots, comme par exemple « lui », que tu as tendance à placer très souvent et qui devient pompant.

Mais je vais t’expliquer un truc que je ne comprenais pas au début, quand j’ai commencé à écrire. Ce que je vois dans ton histoire, c’est que tout s’enchaîne, comme je l’ai déjà dit ça ne me dérange pas car j’y suis habitué, les évènements sont brièvement expliqués et on en vient au fait directement. On va droit au but et l’action est le centre de ton histoire. Néanmoins s’est là que ça bloque.

Je m’explique : J’ai écrit un livre d’une soixantaine de page, qui raconte l’histoire d’un mage qui cherche son père et qui rencontre un flopé d’ennemis et qui tisse des liens avec différents autres mages. Et durant soixante pages, il ne se passe rien, si ce n’est du combat, des affrontements et des révélations. Du coup l’histoire est bancale, les personnages chiants et très peu intéressants ou dévellopés, et (et ça s’est peut être ma plus grande peur et faiblesse) cliché au maximum. Bref s’est pas quelque chose d’ont je suis très fier. J’ai écrit ça j’avais douze ans et je me souviens que j’étais tout de même content de moi. Écrire soixante pages s’est pas rien tout de même.

Et là tu dois te demander pourquoi je te raconte tout ça. Et bien parce je me retrouve dans tes textes. Je me revois il y a quelques années, un gosse rêveur, qui voulait raconter des récits de bataille et de vaillants héros. Et c’est ce que j’ai fait dans les premiers chapitres de l’Ordre des Dignes Titans. Et puis pour le dernier j’ai choisis de prendre le temps de développer les personnages, de les faire évoluer.

Et par ce commentaire s’est ça que j’aimerais te faire comprendre : ce que tu écris est bon, même très bon, mais prends le temps de développer tes personnages, car que ce soit le golem ou les autres personnages qui apparaissent dans ton récit, je ne me suis attaché à aucun d’eux alors qu’ils m’ont l’air intéressants ^^
Pour conclure : continues comme ça, tu es sur la bonne voie, mais comme dit, prend le temps de développer tes personnages quitte à enlever de l’action pour de la parlotte ou on apprend à mieux connaître les personnages (genre évite que ce soit le narrateur qui nous apprenne que Mr.X à une fille et un garçon, ce serai mieux si tu illustre un dialogue entre le golem et Mr.X ^^) S’est plus parlant et on s’y attachera car (ça peut paraître stupide hein !) le lecteur aura l’impression d’être avec les personnages, et que ces derniers prennent du temps pour lui, afin de lui expliquer qui ils sont.

Voili voilou !
Citation de TrollandGoblin
Citation de sauronrGardien Who Partie 2


Arthas fonça sur le golem d'argenterie. Gardien, le voyant arriver eut peine à puiser dans ses dernières forces magiques et créa un bouclier qui repoussa l'attaque du Paladin. Alors que son adversaire se préparait à lui porter un deuxième coup qui serait fatal à sa vielle carcasse de golem, un homme cria «  Seigneur, une goule , le fléau nous attaque ». Son adversaire eu un moment d'inattention qui permit à Gardien de se libérer, mais il n'avait pas eu le temps de se reposer qu'une Goule lui fonça dessus ; alors il lança un projectile des arcanes qui fit exploser le mort-vivant en plusieurs morceaux. Il se souvint de ce sort ; il l'avait appris dans un vieux grimoire de Malygos qui s'intitulait « La magie pour débuter de A àZ », ce grimoire le dragon voulait le jeter mais il s'y était formellement opposé, il détestait que l'on jette les affaires même vieillies et usées.

Le combat, lui, continuait , les deux soldats étaient aux prises avec les goules. Le premier trancha littéralement la tête de son adversaire. Le deuxième, lui, combattait trois ennemis : il réussit à esquiver les coups de deux de ses ennemies mais le troisième lui porta un coup au ventre qui déchiqueta ses entrailles ; alors, les trois mort-vivant se précipitèrent sur lui pour manger son cadavre. Arthas, lui, s 'en sortait plutôt bien : il brûlait ses adversaires à l'aide de jets de lumière.

Les ennemis arrivaient de plus en plus nombreux. Le soldat, le paladin et le golem commençaient à être débordés. Gardien demanda à Arthas s'il pouvait puiser dans son mana pour lancer un puissant sort comme il n'en n'avait plus. Le combattant eu un doute puis, voyant que c'était la seule solution, il accepta. Le Golem d'argenterie draina la puissance magique puis il lança une pluie de projectiles des arcanes, exterminant les ennemis un par un. Le soldat regarda le golem très surprits; Arthas lui ne le fut pas le moins du monde et dit :

« - Tu t'entendrais bien avec une de mes amis
-Qui ça ? Dit le golem
-Jaina. Mais elle n'est pas ici ; elle a refusé de m'accompagner , elle dit que je change en mal. Mais trêve de bavardages allons au camp reprendre nos forces.
-Et que faites vous ici seigneur ?
-Ne m'appelez pas seigneur mais Arthas. Et si je suis ici c'est pour tuer Mal'ganis ; c'est lui qui commande le fléau contrairement à ce qu'il dit mais ses sûrement l'une de ses ruses »

Gardien discuta avec le soldat , il était grand , fort avait les cheveux noirs et les yeux verts ; il souriait tous le temps - même lorsqu'il tuait - il apprit qu'il s'appelait Balor, sa femme et ses enfants (une fille et un garçon ) avaient été tués par le fléau. Ancien mercenaire, il s'était engagé auprès d'Arthas pour se venger. Le golem lui, raconta son histoire mais lorsqu'il demanda à Balor quelle mission il avait accomplit en tant que mercenaire, le soldat refusa catégoriquement de lui répondre mais il dit qu'il voulait racheter ses actions passées, ce qui parut fort intriguant au le voyageur temporel.

Après deux heures de marche, ils furent enfin arrivés au camp mais ils n'eurent pas le temps de se reposer que déjà arrivait un soldat chargé d'explorer la zone. Il dit qu'il avait vu un groupe de hauts-elfes aux prises avec des morts-vivants. Arthas demanda aux soldats s' il y avait des volontaires pour aller les secourir car lui n'irait pas. Il n'y avait aucun volontaire jusqu'au moment où Gardien dit : « Moi, j'irai ». Alors, à ce moment-là, Balor parla « Si tu y vas, j'irai avec toi mon nouvel ami. » . Le paladin les regarda tous les deux et leur adressa la parole :
« -À deux, c'est vraiment une mission suicidaire, même avec une magie comme la tienne golem
Et il est indigne d'un paladin d'abandonner des innocents ! répondit Gardien
-Soit. Vas-y puisque tu y tiens tant mais sache que moi je préfère tuer Mal'ganis et ainsi arrêter cette folie »

Gardien et Balors suivirent les indications du soldat et trouvèrent le campement des elfes. Lorsqu'ils arrivèrent, ils virent un vingtaine de cadavres à moitié dévorés et six combattant encore debout, les rang de leur adversaires étaient composés d'une cinquantaine de goules, trois abominations et une dizaine de gargouilles. Les cadavres de deux sorcier gisaient par terre ainsi que celui de deux abominations, de quelques gargouilles et d'une centaine de goule. Les elfes ici présent étaient donc de farouches combattants mais les archers n'avaient plus de flèches (il y en avait deux dont une elfe de la nuit). Les zombies ailés prenaient donc l'avantage. Le golem et le soldat foncèrent pour les aider. Gardien, au passage, lança un projectile qui fit exploser une gargouille. Une guerrière elfe tourna la tête pour les regarder et une abomination lui explosa le crâne, les goules se précipitèrent pour manger son cadavre.

À suivre

Pouvez vous me dire comment amélioré mon texte se que vous avez aimé pas aimés ? Votre avis quoi.


Je trouve ton histoire assez sympathique, elle me rappelle les premiers récits que j’ai écrit (beaucoup de combats, d’actions, et très peu de parlotte. Tout s’enchaîne et ça va assez vite.). Donc sur ce coup là tu marques un point. Néanmoins fait attention à certains mots, comme par exemple « lui », que tu as tendance à placer très souvent et qui devient pompant.

Mais je vais t’expliquer un truc que je ne comprenais pas au début, quand j’ai commencé à écrire. Ce que je vois dans ton histoire, c’est que tout s’enchaîne, comme je l’ai déjà dit ça ne me dérange pas car j’y suis habitué, les évènements sont brièvement expliqués et on en vient au fait directement. On va droit au but et l’action est le centre de ton histoire. Néanmoins s’est là que ça bloque.

Je m’explique : J’ai écrit un livre d’une soixantaine de page, qui raconte l’histoire d’un mage qui cherche son père et qui rencontre un flopé d’ennemis et qui tisse des liens avec différents autres mages. Et durant soixante pages, il ne se passe rien, si ce n’est du combat, des affrontements et des révélations. Du coup l’histoire est bancale, les personnages chiants et très peu intéressants ou dévellopés, et (et ça s’est peut être ma plus grande peur et faiblesse) cliché au maximum. Bref s’est pas quelque chose d’ont je suis très fier. J’ai écrit ça j’avais douze ans et je me souviens que j’étais tout de même content de moi. Écrire soixante pages s’est pas rien tout de même.

Et là tu dois te demander pourquoi je te raconte tout ça. Et bien parce je me retrouve dans tes textes. Je me revois il y a quelques années, un gosse rêveur, qui voulait raconter des récits de bataille et de vaillants héros. Et c’est ce que j’ai fait dans les premiers chapitres de l’Ordre des Dignes Titans. Et puis pour le dernier j’ai choisis de prendre le temps de développer les personnages, de les faire évoluer.

Et par ce commentaire s’est ça que j’aimerais te faire comprendre : ce que tu écris est bon, même très bon, mais prends le temps de développer tes personnages, car que ce soit le golem ou les autres personnages qui apparaissent dans ton récit, je ne me suis attaché à aucun d’eux alors qu’ils m’ont l’air intéressants ^^
Pour conclure : continues comme ça, tu es sur la bonne voie, mais comme dit, prend le temps de développer tes personnages quitte à enlever de l’action pour de la parlotte ou on apprend à mieux connaître les personnages (genre évite que ce soit le narrateur qui nous apprenne que Mr.X à une fille et un garçon, ce serai mieux si tu illustre un dialogue entre le golem et Mr.X ^^) S’est plus parlant et on s’y attachera car (ça peut paraître stupide hein !) le lecteur aura l’impression d’être avec les personnages, et que ces derniers prennent du temps pour lui, afin de lui expliquer qui ils sont.

Voili voilou !


C'est marrant, car moi aussi je me lance dans des récits de 60, voire 200 pages mais que mon problème est tout autre ^^
En fait, c'est tout le contraire, je fais trop de description, je parle trop des personnages en profondeur (je me répète souvent aussi) et il ne se passe des combats que tous les 50 pages ^^
sauronr
  • 664 message(s)
27 Mai 2017, 14:55
Citation de TrollandGoblin
Citation de sauronrGardien Who Partie 2


Arthas fonça sur le golem d'argenterie. Gardien, le voyant arriver eut peine à puiser dans ses dernières forces magiques et créa un bouclier qui repoussa l'attaque du Paladin. Alors que son adversaire se préparait à lui porter un deuxième coup qui serait fatal à sa vielle carcasse de golem, un homme cria «  Seigneur, une goule , le fléau nous attaque ». Son adversaire eu un moment d'inattention qui permit à Gardien de se libérer, mais il n'avait pas eu le temps de se reposer qu'une Goule lui fonça dessus ; alors il lança un projectile des arcanes qui fit exploser le mort-vivant en plusieurs morceaux. Il se souvint de ce sort ; il l'avait appris dans un vieux grimoire de Malygos qui s'intitulait « La magie pour débuter de A àZ », ce grimoire le dragon voulait le jeter mais il s'y était formellement opposé, il détestait que l'on jette les affaires même vieillies et usées.

Le combat, lui, continuait , les deux soldats étaient aux prises avec les goules. Le premier trancha littéralement la tête de son adversaire. Le deuxième, lui, combattait trois ennemis : il réussit à esquiver les coups de deux de ses ennemies mais le troisième lui porta un coup au ventre qui déchiqueta ses entrailles ; alors, les trois mort-vivant se précipitèrent sur lui pour manger son cadavre. Arthas, lui, s 'en sortait plutôt bien : il brûlait ses adversaires à l'aide de jets de lumière.

Les ennemis arrivaient de plus en plus nombreux. Le soldat, le paladin et le golem commençaient à être débordés. Gardien demanda à Arthas s'il pouvait puiser dans son mana pour lancer un puissant sort comme il n'en n'avait plus. Le combattant eu un doute puis, voyant que c'était la seule solution, il accepta. Le Golem d'argenterie draina la puissance magique puis il lança une pluie de projectiles des arcanes, exterminant les ennemis un par un. Le soldat regarda le golem très surprits; Arthas lui ne le fut pas le moins du monde et dit :

« - Tu t'entendrais bien avec une de mes amis
-Qui ça ? Dit le golem
-Jaina. Mais elle n'est pas ici ; elle a refusé de m'accompagner , elle dit que je change en mal. Mais trêve de bavardages allons au camp reprendre nos forces.
-Et que faites vous ici seigneur ?
-Ne m'appelez pas seigneur mais Arthas. Et si je suis ici c'est pour tuer Mal'ganis ; c'est lui qui commande le fléau contrairement à ce qu'il dit mais ses sûrement l'une de ses ruses »

Gardien discuta avec le soldat , il était grand , fort avait les cheveux noirs et les yeux verts ; il souriait tous le temps - même lorsqu'il tuait - il apprit qu'il s'appelait Balor, sa femme et ses enfants (une fille et un garçon ) avaient été tués par le fléau. Ancien mercenaire, il s'était engagé auprès d'Arthas pour se venger. Le golem lui, raconta son histoire mais lorsqu'il demanda à Balor quelle mission il avait accomplit en tant que mercenaire, le soldat refusa catégoriquement de lui répondre mais il dit qu'il voulait racheter ses actions passées, ce qui parut fort intriguant au le voyageur temporel.

Après deux heures de marche, ils furent enfin arrivés au camp mais ils n'eurent pas le temps de se reposer que déjà arrivait un soldat chargé d'explorer la zone. Il dit qu'il avait vu un groupe de hauts-elfes aux prises avec des morts-vivants. Arthas demanda aux soldats s' il y avait des volontaires pour aller les secourir car lui n'irait pas. Il n'y avait aucun volontaire jusqu'au moment où Gardien dit : « Moi, j'irai ». Alors, à ce moment-là, Balor parla « Si tu y vas, j'irai avec toi mon nouvel ami. » . Le paladin les regarda tous les deux et leur adressa la parole :
« -À deux, c'est vraiment une mission suicidaire, même avec une magie comme la tienne golem
Et il est indigne d'un paladin d'abandonner des innocents ! répondit Gardien
-Soit. Vas-y puisque tu y tiens tant mais sache que moi je préfère tuer Mal'ganis et ainsi arrêter cette folie »

Gardien et Balors suivirent les indications du soldat et trouvèrent le campement des elfes. Lorsqu'ils arrivèrent, ils virent un vingtaine de cadavres à moitié dévorés et six combattant encore debout, les rang de leur adversaires étaient composés d'une cinquantaine de goules, trois abominations et une dizaine de gargouilles. Les cadavres de deux sorcier gisaient par terre ainsi que celui de deux abominations, de quelques gargouilles et d'une centaine de goule. Les elfes ici présent étaient donc de farouches combattants mais les archers n'avaient plus de flèches (il y en avait deux dont une elfe de la nuit). Les zombies ailés prenaient donc l'avantage. Le golem et le soldat foncèrent pour les aider. Gardien, au passage, lança un projectile qui fit exploser une gargouille. Une guerrière elfe tourna la tête pour les regarder et une abomination lui explosa le crâne, les goules se précipitèrent pour manger son cadavre.

À suivre

Pouvez vous me dire comment amélioré mon texte se que vous avez aimé pas aimés ? Votre avis quoi.


Je trouve ton histoire assez sympathique, elle me rappelle les premiers récits que j’ai écrit (beaucoup de combats, d’actions, et très peu de parlotte. Tout s’enchaîne et ça va assez vite.). Donc sur ce coup là tu marques un point. Néanmoins fait attention à certains mots, comme par exemple « lui », que tu as tendance à placer très souvent et qui devient pompant.

Mais je vais t’expliquer un truc que je ne comprenais pas au début, quand j’ai commencé à écrire. Ce que je vois dans ton histoire, c’est que tout s’enchaîne, comme je l’ai déjà dit ça ne me dérange pas car j’y suis habitué, les évènements sont brièvement expliqués et on en vient au fait directement. On va droit au but et l’action est le centre de ton histoire. Néanmoins s’est là que ça bloque.

Je m’explique : J’ai écrit un livre d’une soixantaine de page, qui raconte l’histoire d’un mage qui cherche son père et qui rencontre un flopé d’ennemis et qui tisse des liens avec différents autres mages. Et durant soixante pages, il ne se passe rien, si ce n’est du combat, des affrontements et des révélations. Du coup l’histoire est bancale, les personnages chiants et très peu intéressants ou dévellopés, et (et ça s’est peut être ma plus grande peur et faiblesse) cliché au maximum. Bref s’est pas quelque chose d’ont je suis très fier. J’ai écrit ça j’avais douze ans et je me souviens que j’étais tout de même content de moi. Écrire soixante pages s’est pas rien tout de même.

Et là tu dois te demander pourquoi je te raconte tout ça. Et bien parce je me retrouve dans tes textes. Je me revois il y a quelques années, un gosse rêveur, qui voulait raconter des récits de bataille et de vaillants héros. Et c’est ce que j’ai fait dans les premiers chapitres de l’Ordre des Dignes Titans. Et puis pour le dernier j’ai choisis de prendre le temps de développer les personnages, de les faire évoluer.

Et par ce commentaire s’est ça que j’aimerais te faire comprendre : ce que tu écris est bon, même très bon, mais prends le temps de développer tes personnages, car que ce soit le golem ou les autres personnages qui apparaissent dans ton récit, je ne me suis attaché à aucun d’eux alors qu’ils m’ont l’air intéressants ^^
Pour conclure : continues comme ça, tu es sur la bonne voie, mais comme dit, prend le temps de développer tes personnages quitte à enlever de l’action pour de la parlotte ou on apprend à mieux connaître les personnages (genre évite que ce soit le narrateur qui nous apprenne que Mr.X à une fille et un garçon, ce serai mieux si tu illustre un dialogue entre le golem et Mr.X ^^) S’est plus parlant et on s’y attachera car (ça peut paraître stupide hein !) le lecteur aura l’impression d’être avec les personnages, et que ces derniers prennent du temps pour lui, afin de lui expliquer qui ils sont.

Voili voilou !



Merci je vais me lancé sur la dernière partie du récit en norfendre je vais prendre compte de tes conseil et essayer de faire de mon mieux ;)
Citation de DarkSkywalker
Citation de TrollandGoblin
Citation de sauronrGardien Who Partie 2


Arthas fonça sur le golem d'argenterie. Gardien, le voyant arriver eut peine à puiser dans ses dernières forces magiques et créa un bouclier qui repoussa l'attaque du Paladin. Alors que son adversaire se préparait à lui porter un deuxième coup qui serait fatal à sa vielle carcasse de golem, un homme cria «  Seigneur, une goule , le fléau nous attaque ». Son adversaire eu un moment d'inattention qui permit à Gardien de se libérer, mais il n'avait pas eu le temps de se reposer qu'une Goule lui fonça dessus ; alors il lança un projectile des arcanes qui fit exploser le mort-vivant en plusieurs morceaux. Il se souvint de ce sort ; il l'avait appris dans un vieux grimoire de Malygos qui s'intitulait « La magie pour débuter de A àZ », ce grimoire le dragon voulait le jeter mais il s'y était formellement opposé, il détestait que l'on jette les affaires même vieillies et usées.

Le combat, lui, continuait , les deux soldats étaient aux prises avec les goules. Le premier trancha littéralement la tête de son adversaire. Le deuxième, lui, combattait trois ennemis : il réussit à esquiver les coups de deux de ses ennemies mais le troisième lui porta un coup au ventre qui déchiqueta ses entrailles ; alors, les trois mort-vivant se précipitèrent sur lui pour manger son cadavre. Arthas, lui, s 'en sortait plutôt bien : il brûlait ses adversaires à l'aide de jets de lumière.

Les ennemis arrivaient de plus en plus nombreux. Le soldat, le paladin et le golem commençaient à être débordés. Gardien demanda à Arthas s'il pouvait puiser dans son mana pour lancer un puissant sort comme il n'en n'avait plus. Le combattant eu un doute puis, voyant que c'était la seule solution, il accepta. Le Golem d'argenterie draina la puissance magique puis il lança une pluie de projectiles des arcanes, exterminant les ennemis un par un. Le soldat regarda le golem très surprits; Arthas lui ne le fut pas le moins du monde et dit :

« - Tu t'entendrais bien avec une de mes amis
-Qui ça ? Dit le golem
-Jaina. Mais elle n'est pas ici ; elle a refusé de m'accompagner , elle dit que je change en mal. Mais trêve de bavardages allons au camp reprendre nos forces.
-Et que faites vous ici seigneur ?
-Ne m'appelez pas seigneur mais Arthas. Et si je suis ici c'est pour tuer Mal'ganis ; c'est lui qui commande le fléau contrairement à ce qu'il dit mais ses sûrement l'une de ses ruses »

Gardien discuta avec le soldat , il était grand , fort avait les cheveux noirs et les yeux verts ; il souriait tous le temps - même lorsqu'il tuait - il apprit qu'il s'appelait Balor, sa femme et ses enfants (une fille et un garçon ) avaient été tués par le fléau. Ancien mercenaire, il s'était engagé auprès d'Arthas pour se venger. Le golem lui, raconta son histoire mais lorsqu'il demanda à Balor quelle mission il avait accomplit en tant que mercenaire, le soldat refusa catégoriquement de lui répondre mais il dit qu'il voulait racheter ses actions passées, ce qui parut fort intriguant au le voyageur temporel.

Après deux heures de marche, ils furent enfin arrivés au camp mais ils n'eurent pas le temps de se reposer que déjà arrivait un soldat chargé d'explorer la zone. Il dit qu'il avait vu un groupe de hauts-elfes aux prises avec des morts-vivants. Arthas demanda aux soldats s' il y avait des volontaires pour aller les secourir car lui n'irait pas. Il n'y avait aucun volontaire jusqu'au moment où Gardien dit : « Moi, j'irai ». Alors, à ce moment-là, Balor parla « Si tu y vas, j'irai avec toi mon nouvel ami. » . Le paladin les regarda tous les deux et leur adressa la parole :
« -À deux, c'est vraiment une mission suicidaire, même avec une magie comme la tienne golem
Et il est indigne d'un paladin d'abandonner des innocents ! répondit Gardien
-Soit. Vas-y puisque tu y tiens tant mais sache que moi je préfère tuer Mal'ganis et ainsi arrêter cette folie »

Gardien et Balors suivirent les indications du soldat et trouvèrent le campement des elfes. Lorsqu'ils arrivèrent, ils virent un vingtaine de cadavres à moitié dévorés et six combattant encore debout, les rang de leur adversaires étaient composés d'une cinquantaine de goules, trois abominations et une dizaine de gargouilles. Les cadavres de deux sorcier gisaient par terre ainsi que celui de deux abominations, de quelques gargouilles et d'une centaine de goule. Les elfes ici présent étaient donc de farouches combattants mais les archers n'avaient plus de flèches (il y en avait deux dont une elfe de la nuit). Les zombies ailés prenaient donc l'avantage. Le golem et le soldat foncèrent pour les aider. Gardien, au passage, lança un projectile qui fit exploser une gargouille. Une guerrière elfe tourna la tête pour les regarder et une abomination lui explosa le crâne, les goules se précipitèrent pour manger son cadavre.

À suivre

Pouvez vous me dire comment amélioré mon texte se que vous avez aimé pas aimés ? Votre avis quoi.


Je trouve ton histoire assez sympathique, elle me rappelle les premiers récits que j’ai écrit (beaucoup de combats, d’actions, et très peu de parlotte. Tout s’enchaîne et ça va assez vite.). Donc sur ce coup là tu marques un point. Néanmoins fait attention à certains mots, comme par exemple « lui », que tu as tendance à placer très souvent et qui devient pompant.

Mais je vais t’expliquer un truc que je ne comprenais pas au début, quand j’ai commencé à écrire. Ce que je vois dans ton histoire, c’est que tout s’enchaîne, comme je l’ai déjà dit ça ne me dérange pas car j’y suis habitué, les évènements sont brièvement expliqués et on en vient au fait directement. On va droit au but et l’action est le centre de ton histoire. Néanmoins s’est là que ça bloque.

Je m’explique : J’ai écrit un livre d’une soixantaine de page, qui raconte l’histoire d’un mage qui cherche son père et qui rencontre un flopé d’ennemis et qui tisse des liens avec différents autres mages. Et durant soixante pages, il ne se passe rien, si ce n’est du combat, des affrontements et des révélations. Du coup l’histoire est bancale, les personnages chiants et très peu intéressants ou dévellopés, et (et ça s’est peut être ma plus grande peur et faiblesse) cliché au maximum. Bref s’est pas quelque chose d’ont je suis très fier. J’ai écrit ça j’avais douze ans et je me souviens que j’étais tout de même content de moi. Écrire soixante pages s’est pas rien tout de même.

Et là tu dois te demander pourquoi je te raconte tout ça. Et bien parce je me retrouve dans tes textes. Je me revois il y a quelques années, un gosse rêveur, qui voulait raconter des récits de bataille et de vaillants héros. Et c’est ce que j’ai fait dans les premiers chapitres de l’Ordre des Dignes Titans. Et puis pour le dernier j’ai choisis de prendre le temps de développer les personnages, de les faire évoluer.

Et par ce commentaire s’est ça que j’aimerais te faire comprendre : ce que tu écris est bon, même très bon, mais prends le temps de développer tes personnages, car que ce soit le golem ou les autres personnages qui apparaissent dans ton récit, je ne me suis attaché à aucun d’eux alors qu’ils m’ont l’air intéressants ^^
Pour conclure : continues comme ça, tu es sur la bonne voie, mais comme dit, prend le temps de développer tes personnages quitte à enlever de l’action pour de la parlotte ou on apprend à mieux connaître les personnages (genre évite que ce soit le narrateur qui nous apprenne que Mr.X à une fille et un garçon, ce serai mieux si tu illustre un dialogue entre le golem et Mr.X ^^) S’est plus parlant et on s’y attachera car (ça peut paraître stupide hein !) le lecteur aura l’impression d’être avec les personnages, et que ces derniers prennent du temps pour lui, afin de lui expliquer qui ils sont.

Voili voilou !


C'est marrant, car moi aussi je me lance dans des récits de 60, voire 200 pages mais que mon problème est tout autre ^^
En fait, c'est tout le contraire, je fais trop de description, je parle trop des personnages en profondeur (je me répète souvent aussi) et il ne se passe des combats que tous les 50 pages ^^


Bah tien, moi les descriptions ça me faisais chier (s'est plus le cas mais je trouve que ça casse souvent le rythme) ^^ Maintenant j'essaie vraiment de faire ressentir les émotions et faire en sorte que les personnages soient profonds (toute blague salace sera sanctionnée) et bien pensées. Comme quoi ça varie d'une personne à l'autre ;)

Et je me réjouis de voir ça Sauronr (j'ai d'ailleurs laissé un commentaire sous ton teasing ^^)
sauronr
  • 664 message(s)
27 Mai 2017, 15:29
Citation de TrollandGoblin
Et je me réjouis de voir ça Sauronr (j'ai d'ailleurs laissé un commentaire sous ton teasing ^^)


Déso je ne peut pas changer
bon je crois qu'ils ont tout dit donc moi je te dis juste que j'ais bien apprécié et que j'attend la suite
sauronr
  • 664 message(s)
27 Mai 2017, 15:59
Citation de leerooy jenkinsbon je crois qu'ils ont tout dit donc moi je te dis juste que j'ais bien apprécié et que j'attend la suite


Merci ;)
Je vais rejoindre mes comparses sur le coup. Ce n'est pas mauvais, mais oui, les personnages ne sont que des fières combattants de la liberté. Le style est bon. Pour faire une métaphore, disons que la forme est bonne mais le fond est un peu creux. On se retrouve qu'avec de la baston. Que font les personnages, qui sont-ils ? Certes pour notre personnage principale et Arthas, j'admet que là j'abuse un peu. Mais pour Baldor, bah... Mis à part sa soif de vengeance ? On dirait les histoires du moyen-âge avec des personnages types.

Mais pour un premier jet, il est plutôt bien réussit !
Donnez vos avis là-dessus. Et repérez bien les coquilles, ce texte est assez difficile à faire. Et surtout, je l'écris en deux temps. Lisez ceci dans l'ombre de la nuit, éteignez vos lumières et lancez cette vidéo... Peut être y échapperez-vous ?



Prêtre de la serre de la Kabale


« On a adoré un monstre ! Détruisons-le !
- Il est vivant ! Tu comprends !
- C'est une abomination ce truc ! »

Quand je suis entré dans la Kabale, je pensais juste faire des popotes. Mais un appel, plus fort que moi, plus fort que nous, nous a poussé vers ça. Laissez moi racontez cette histoire.

L'inspecteur qui venait de m'arrêter ne comprenait pas encore toute l'étendue de l'affaire. Normal.
Je regardais ce type, un corbeau avec une cape. Il disait avoir vu une abomination. Suis habitué à ce genre d'affaire.
« Alors vous dites que vos comparses et vous même avez crée une chose capable de détruire Azeroth ? Expliquez moi-ça.
- Dites-moi où je suis d'abord.
- À Gadgetzan. Où voulez-vous être ? Allez racontez moi, depuis le début.
- Je suis né le.
- Quand je dis début, je parle du début de l'affaire.
- C'est quand je suis arrivé en ville. Et que des choses surnaturelles ne commencent à apparaître ».
Il buvait son café. Une tasse blanche, une blouse blanche. Il se croyait supérieur.
Tu vas enfin cracher le morceau oiseau de malheur. Pourquoi former des prêtres animaux. Avec la cervelle de moineau qu'ils ont.

À la base, nous n'étions que des prêtres de Hurlevent. « Purifiez la ville. » Notre mot d'ordre. Celui de notre ordre. Beaucoup on fait partie de la croisade écarlate. Et ont servi sous Thalnos, dans le service de « reconversion ». Moi je viens de finir mes études de théologie. Je cherche une cause à défendre. Les premiers temps, nous avons construit notre temple. Notre ordre avait ce nom : « Temple écarlate ». Nous soignions et aidions les gens qui venaient à nous. Nous étions envahis de personnes qui cherchaient un refuge. Dans le quartier on essayait d'organiser fêtes et cérémonies religieuses. On célébraient des mariages comme des enterrements. Enfin, surtout des enterrements. Mais on luttait contre la corruption de cette ville. On a fait barrage, on a sauvé des gens en proie à la mafia pandaren de l'époque et à Han'cho.
Là l'inspecteur se leva, pris une photo sur l'étagère à côté de la porte. Je me demande pourquoi. Et là, il me la met devant le bec.
« C'est quoi ça ?
- Notre Dieu. Un ancien oracle. Venu professer la parole des titans. Il est mort, massacrer par les adorateurs de C'thun. Il contredisait leurs paroles. »
Il me regarde l'air satisfait. Comme si il venait de remporter une bataille.
Ce type parle sûr de lui. Il veut m'entourlouper ou est-il sérieux ?

Cela faisait six mois que notre mission avait atterrit ici. Des frères se couchaient plus tard que d'autres pour nourrir les pauvres qui cherchaient refuge. Régulièrement, des mafieux demandaient si on avait vu tel ou tel type dans les parages. Notre silence était notre meilleure arme contre ces brigands. Jamais répondre. D'ailleurs, nous nous ne demandions jamais les noms de nos protégés. Pour éviter de parler sous la pression. Un jour, un hiver terrible. Une nuit de pleine lune horrible. Un homme arriva. Il n'avait que pour habit un pantalon. Il gisait sur le parterre du Temple. La neige le recouvrait presque complètement. Il était gelé. Moi et frère Dorn sommes allés le chercher. Nous l'avons allongé sur un lit. C'est alors qu'il m'agrippe ma tunique dans un sursaut violent pour me dire : « J'ai vu la bête ! J'ai vu la bête essayer de dévorer. Protège-nous... »
Il s'effondre d'épuisement avant de finir sa phrase. Tout le temple se réveille. Tout de suite, le père supérieur prend en charge le corps avec notre médecin, frère Greywolf. Cette bête dont il parle, nous intriguent. De quoi parlait-il ? Personne n'avait de réponse. Le lendemain, je suis allé à la bibliothèque, à la recherche d'informations. Notre bestiaire est vaste en Azeroth. Mais ces blessures. Des empreintes dans la chair. Si profondes, si grandes. Cette chose n'avait rien de naturel. Était-ce surnaturelle ? Je n'en savais rien. Le frère Gerywolf nous assura la chose suivante, tous ceci n'a rien de surnaturel, ce n'est qu'une supercherie pour nous faire peur. Une manigance de voleur pour nos déstabiliser. Mais, le mois suivant, toujours sous une nuit de pleine lune, un nouvel homme arriva, avec des blessures semblables. Il mourut aussi dans la suite. Il répéta la même chose. Exactement.
Toute notre confrérie commençait à se poser des questions. Des choses comme ça, personne n'en avait vécus.
« Vous avez pourtant dit que certains on rejoint la croisade écarlate et on servit Thalnos non ?
- Même eux n'avaient rien vu de tel. Cela les dépassaient.
- Tentaient t-ils de répondre à la question ?
- Ils ont disséquer les corps, chercher dans les livres anciens.
- Et ?
- Rien. »
C'est quoi ces questions ? Pourquoi il appelle un de ses larbins ? Il lui rapporte un grimoire ? Qu'est-ce qu'il nous fait là ?
« Ceci mon cher est un rapport d'un de vos confrères. Confirmez-vous ses dires ?
- De qui ?
- Je vous laisse lire, je ne sais pas lire cette écriture. »
Je dois lui déchiffrer. C'est sûrement un piège pour savoir si je ment. Cette écriture n'est pas nôtre.
« Ceci ne provient d'aucun de chez nous, ce n'est pas notre écriture.
- Sûr ?
- Sûr.
Très bien. »
Fait pas l'étonné. C'est un excellent comédien, sa figure ne laisse présager rien de bien.
L'étau se resserre. Le fruit commence à mûrir. Il va tombé.

Le frère Funèbre m'assurait que l'affaire serait vite sortit de l'ombre. Il a servi Thalnos, il devait ramener les réprouvés dans le droit chemin. Il s'y connaissait dans le surnaturel. Je me décida à l'aider. Il accepta cette aide. Il ne travaillait que de nuit. Dans les caveaux du temple. On descendit ensemble. Il me dit alors :
« Sache que tu t'apprêtes à voir le destin d'Azeroth changer. Tu peux faire marche arrière encore. Mais dans tous les cas, tu devra faire vœux de silence. Que tu descendes ou remontes.
- Je descends.
- Très bien. »
Une fois en bas, il reposa sa torche dans l'étui fait pour. Il ouvrit alors une lourde porte de métal.
Je fis alors la rencontre qui allait changer mon destin.
Une sonnette retentit.
« Excusez-moi, mais c'est l'heure de la pause déjeuner. Allez vous dégourdir les pattes. On se retrouve dans une heure ou deux. Comme vous le sentez.
- Une heure.
- Très bien. Retirez-lui ça vous autres. »

Je me balade alors dans l'établissement, j'ai pas faim. De grands couloirs rectiligne se poursuivaient de façon parallèle. Et se croisaient à certains point. Une géométrie parfaite. Les couloirs donnaient sur des salles, dont les portes opaques et insonorisés ne laissent rien transparaître. Je sais que ce sont des salles d'interrogatoires. Je viens d'y faire un tour. Mais je sens que quelque chose est louche. C'est dans l'air. Une onde maléfique, corrompue. Je vois régulièrement des types en blouses, comme mon inspecteur, avec sous les bras un gars. Tous se dirigent vers la même direction. Un couloir unique et sombre. Je ne savais pas où il menait. C'est louche selon moi. Des photos du maire de la ville un peu partout me laisse supposer que le bâtiment est au service de la communauté. Mais ce couloirs, il est bizarre. Je me dois d'enquêter là-dessus.
« Ah, je vous cherche depuis un quart d'heure. Venez-là vous. Remettez-lui ça. »
Je dois reprendre mon histoire. Je vais être le plus conciliant possible. Il joue le jeu de la confiance. Peut être me laissera t-il me balader à ma guise dans le bâtiment. Je pourrais alors éclaircir ce mystère.
Quelque chose le turlupine. Je pense que cette affaire aura droit à une suite. Je le ferai suivre. Mais essayons d'entrer dans son jeu.

Quand la porte de métal s'ouvrit, je vis un homme. Des cornes lui sortait de la mâchoire. Son teint violet me fessais pressentir une métamorphose quelconque. Ou autre chose de plus sordide. En tous cas, cela a réussis.
« Je te présente un collaborateur, monseigneur Kazakus. Monseigneur, voici frère Croasse.
- Un honneur de vous rencontrez.
- Moi de même. »
Kazakus ne faisait pas partie de l'ordre. Deux gros bras derrière, des drakônides, surveillaient nos agissements. Il y avait les deux corps. Disséquer, étudier. Tous étaient compilés dans un rapport précis point par point.
« Je m'excuse un instant, je dois aller expliquer quelques bricoles à mes gardes du corps, cela ne vous dérange pas ?
- Pas le moins du monde, répondis-je. Il se tourna au fond de la pièce, assez loin pour ne pas remarquer mes murmures vers frère Funèbre. Je le pris par la manche.
- Quoi donc ?
- Moins fort, mais explique pourquoi ce bandit se trouve dans notre temple. Il mérite le bûcher, pour tous ses pêchers.
- C'est ce que tu penses. Frère Croasse, il est différent des autres. Pour changer et protéger Azeroth il nous faut l'aide de cet être puissant. Rassurez-vous, il n'est pas un Han'Cho, ce n'est pas une brute épaisse sans idéaux ou valeurs. »
Il revint vers nous. Je venais de passer un cap dans mon destin.
« Alors, frère Croasse ? Qu'en pensez-vous ?
- J'accepte. »
Alors commença mon initiation.
« Kazakus vous me dites ?
- Oui, il nous aidait dans nos recherches. Lui seul, avec ses connaissances pouvait nous aider. Et à l'époque, il n'était qu'encore qu'un revendeur de potion parmi d'autre.
- Le bien appelle le mal. Mais vous le dites vous-même, c'est un criminel. Pourquoi lui ?
- Pour ses connaissances.
- Bien. Reprenez. »

Le soir même Kazakus m'apprit des rites aussi anciens qu'Azeroth elle-même. Des rites interdits. Il me fit comprendre que les popotes qu'il vendait sur le marché noir n'était que des amuses-gueules comparé à ce qu'il m'apprenait. Il voulait que je sois son apprenti, il appréciait ma jeunesse. Lui aussi voulait comprendre cette chose. Cette bête. Mais pour ça, il fallait allez au plus profond de l'histoire d'Azeroth. Dans son époque la plus sombre. Mais avant, il fallait trouver d'autres macchabées. Les nuits suivantes, durant cette hiver, nous cherchâmes des restes humains. Portant la marque de la bête. Mais nous n'étions pas seul à la traquer. On voyait régulièrement des enrages-bêtes avec leurs meutes de chiens essayés de remonter la piste. Les Dessoudeurs étaient au courant, il ne fallait pas qu'elle tombe entre-leurs pattes. Le Temple devait la capturé. Avant la Kabale aussi. Cet ordre nouveau qui souhaitait voire la ville plongée dans une peste incurable dont elle seule s'en protégerai. Nous tous répugnons cette ordre. Kazakus le premier. Il avait beau être un pêcheur devant notre oracle, il a encore des idéaux. Mais les jours, les semaines passaient sans rien de plus. Cela paraissait étrange. Mais j'apprenais toujours plus, plus sur cette magie noire et corruptrice. Mes confrères en étaient presque jaloux. Mais cette magie me permettais de soigner ces pauvres innocents.
« Vous parlez de quelle magie noire ? Celle de qui ? De quoi ?
- Celle des Dieux Très Anciens.
- N'était-elle pas interdite dans votre ordre ? N'est-elle pas proscrite ?
- Parfois il faut se salir les mains. Regardez mes frères. La croisade d'argent ? Eux aussi m'apprenait des moyens de purification, parfois avec des objets de tortures. Mais que voulez-vous. »
J'en dis trop là ?
Continue coco, tu commences à chavirer. Je veux l'entendre de ta bouche... ton bec.

Puis un soir. Vint à nous une troisième victime. Kazakus était absent. Cette fois-ci, avec le savoir accumulé à ses côtés, j'allais étudier moi-même la dépouille fraîche. J'allais libérer cette ville du démon. Je descendis avec frère Funèbre dans la salle d'examen. Je me mit à utiliser cette magie, cette puissance interdite. Je pus lire dans ses plaies. Voir ce que lui avait vu. Le mystère allait prendre fin. Je vis alors, une chose immonde, immense, inconcevable tous de noir vêtues. Ses griffes, ses crocs reluisaient avec la pleine lune. Son museau... Puis ce murmure... Cet instant de silence qui résonnait dans la pièce... Mais ce murmure... Je sentis une main, celle de frère Funèbre... Vous murmurez maintenant lui disais-je... Il me fit comprendre que non mais qu'il me sentait perturbé... Je me sentis bizarre... Tous chose... Quelque-chose venait d'être franchit à l'instant... Un point de non-retour...

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