[TAA] La Taverne des Auteurs Amateurs [TAA]

La pêche aux moules est votre passion ? Parlons-en ici.

Chapitre 2

Je rentrais juste du dojo, il était pas plus tard que 19h. Dès que je franchis la porte de la maison, je sentis une atmosphère pesante. À côté de l'entrée, se trouvait la cuisine. Ma mère et ma sœurr préparaient le repas du soir.
« Hariken, viens ici. J'aimerai te parler.
- Tous de suite père. »

Toute ma vie je me rappellerai de ce moment, où je monta cet escalier. Il se tenait droit face à la fenêtre. Il me faisait dos, le regard vers l'infini de la nuit. Il y avait trois valises. Vides.
« Hariken, tu te souviens pourquoi je t'ai toujours entraîné ?
- Pour pouvoir défendre les miens quand il le fallait.
- C'est aujourd'hui. Je n'en ai pas parlé à ta mère et sœur. Je reste ici. Mon devoir est ici. Protège-les. Et pense aussi à Aya. Je me suis entendu avec Hodaren. Vous irez chez la grand-mère d'Aya, madame Goya. Courez-y.
- Papa.
- Je le sais déjà. Va ! »
Je descendis à la cuisine, avec ce fardeau. À la vue des valises, ma mère comprit, et ma sœur emboîta le pas. En cinq minutes, valises bouclées. Quand nous quittâmes la maison, je me retourna une dernière fois vers mon chez moi. La dernière fois que je vis mon père vivant. Nous sommes passé devant chez Hodaren, mais les Dessoudeurs nous ont devancé. Pauvre Aya, je me disais. Tant pis, je décide qu'il faut mieux sauver nos peaux plutôt que de les rejoindre six pieds sous terres.
Après une course effrénée, on arrive chez madame Goya. Une charmante p'tite bicoque au fond du quartier pandaren, qui n'affiche pas pignon sur rue.
« Entrés vite, ils ne sont pas encore passés ici ! »
Une fois à l'intérieure, on put découvrir une décoration horrible. Bon, ça ce n'est que mon avis, et je ne l'ai pas partagé. Mais j'en pense pas moins. D'un autre côté, elle avait un jardin sympathique pour arrière-cour donc moi, si je peux m'y entraîner au sabre là-bas, je peux passer l'éponge sur la décoration abominable. Mais mince quoi, de la peinture mauve et des meubles marron dans une même pièce c'est une faute de goût majeure !
« Où-est ma petite-fille ?
- Les Dessoudeurs sont arrivés avant nous. Désolé mais nous n'avions pas l'envie de les rejoindre pour les recherches.
- Il faut la retrouver !
- Demain, reprit ma mère. Elle débrouillarde, elle saura s'en sortir.
- J'espère bien.
- Rassurez-vous, 'dame Goya.
- Hariken, je ne t'autorise pas encore à me tutoyer.
- Vu comment vont les choses, je crois qu'on est partit pour. Vous me voyez vous vouvoyer pendant 4 ans ?
- Tu me vois te tutoyer pendant 4 ans ? Bon, allez vous reposez, on recherchera Aya demain. »
Cette nuit, je ne puis fermé l’œil. Je pensais non seulement à cette situation dans laquelle on était, à mon père, que maintenant je devais défendre ma famille et que Aya risquait sa peau à ne pas être revenue.
Le lendemain ne fut pas vraiment de tout repos. Avec une carte on essayait de deviner le lieu où Aya aurait pu se cacher. Cela ne fut pas facile à déterminer. Tant de cachettes possibles. Gadgetzan est assez grande, pour qui sait l'apprivoiser.
« Je dirais le musée, c'est pour moi le seul lieu où elle aurait put se cacher.
- Mais les Dessoudeurs y ont prit position. Je dois le répéter combien de fois ?
- Hodaren lui a toujours conseillé de s'y réfugier en cas de pépin.
- C'est allez dans la gueule du loup en expresse là.
- Réfléchit fréro, tu l'as dit toi même, elle peut être nulle part ailleurs. Donc autant y aller faire un tour.
- J'y crois pas désolé.
- Ma petite-fille est là bas ! Un point c'est tous.
- Bon, alea jacta est.
- On ne jure pas dans cette maison. »
Je monte faire mes affaires. La nuit sera longue. Je perçois Dame Goya venir dans ma chambre. Le pas de quelqu'un en dit long sur sa personne. Elle a un pas dur et silencieux. Toute sa personnalité. Mais sa voix laisse sentir un fond de bonté qu'elle cache. Ce qui dans ce monde de brute, n'est pas étonnant.
« Hariken, je dois te parler.
- Sans blague.
- Ton cynisme te perdra, 'fin bon, tu le sais comme moi, si on veut qu'Aya survive, elle doit reprendre en main la mafia.
- Et si elle ne souhaite pas finir dans un caniveau comme ses parents et mon père ?
- Tu dois la raisonner. Elle n'écouteras que toi. Vous avez grandit ensemble, tu as 18 ans. Elle t'écoutera.
- Je verrai. »
Bon au temps y faire un tour à ce fameux musée. Je suis partit de nuit, pour ne pas me faire repérer par les patrouilles. Elles parcourent tous le quartier pandaren. Les têtes de la mafia pandaren ont été coupées. Elle n'a rien a voir avec aujourd'hui. Si les Dessoudeurs sont organisés avec leur très stricte hiérarchie, que Kazakhus fait encore du porte à porte le dimanche, la mafia pandaren elle, c'est une sorte d'association. Mon père et Hodaren faisaient office de « chefs », les assemblées générales, elles, votaient la marche à suivre. La mort des ces têtes a détruit l'ensemble. N'importe qui d'assez malin et opportuniste pouvait reprendre à son compte l'organisation. Mais en attendant, là c'est le bordel. Et je fonce dedans tête baissée. Voyageant de toit en toit, j'arrive assez vite au musée. Du haut de mon perchoir, j'effectue un repérage. Quelle est la meilleur entrée ? D'habitude je serais d'avis de dire que la porte principale est la meilleure mais pour le coup, une fenêtre en hauteur fera l'affaire. J'en trouve une. Je descends via une gouttière pour... en reprendre une. Mais au moment je m'apprête à escalader, j'entends des pas. Je me cache dans une poubelle. Oui c'est pas très glamour.
« Et merde, j'en ai ma claque de patrouiller ici. C'est bon quoi, j'suis d'avis qu'on les dézinguent tous puis basta. Puis cette Aya, qu'est-ce qu'on en a faire ?
- Pourquoi faire, pour y revenir et remettre de l'ordre ? Au temps laisser l'autre gros de... merde j'ai oublié son nom.
- Chosokabe ?
- Ouais, il lèche les pieds de Han'Cho. Il est à notre botte, son pouvoir vient de nous. Il lui reste plus qu'a s'imposer face à ses confrères, puis on devient les maîtres de la ville, on va pouvoir faire chanter comme on veut le Maire Brouillecaboche et Beardo. On aura de quoi foutre la ville à feu et à sang. Et c'est pour ça qu'on doit la retrouver, si la fille de Hodaren est encore en vit, avec l'aura de son père, elle risque de rallier le conseil pandaren à sa cause, et je pense pas qu'elle nous sera reconnaissante pour sa promotion. Puis marcher pour marcher, tant que je suis payé, ça me va.
- Plus qu'a espérer que tous ce passe bien. »
Ils se sont éloignés. Mis à part ce cours de stratégie politique, je comprends pourquoi papa nous a toujours caché du monde moi et ma sœur et ensuite pourquoi ils cherchent Aya. Ce n'est qu'une question de temps. Je file monter ma gouttière. Heureusement, la fenêtre peut s'ouvrir de l'extérieur. Comme quoi, Hodaren avait prévu son coup. Une échelle de service est posée un peu plus loin. Je saute pour la récupérer. Pile poil. Bon après j'avais pas le choix, sinon je m'écrasais comme une merde en bas donc bon. Une fois en bas, je commence mes recherches. J'essaie de me remémorer toutes les cachettes possibles. Environ une trentaine. Bon bah j'en ai pour toute la nuit si j'ai pas bol. Encore des pas ! Cette fois-ci, pas le temps de ce cacher. Je sors mon sabre. Je vois l'ombre, elle se rapproche, la vie ou la mort ! Ah non, c'est qu'un poulet. Mais que fout un poulet ici ? Oui, je me pose ce genre de question. Bon par contre cette fois, si je suis sain d'esprit, là c'est une personne qui vient vers moi. Mais elle parle cette ombre.
« Ne vous approchez pas ! J'ai eu un excellent professeur d'escrime !
- Le manche à balai n'est pas crédible sache-le.
- Hariken ! »
Elle me saute dessus, heureuse de quoi ? Sûrement de retrouver un visage amicale parmi cette foule hostile. De trouver du réconfort, elle qui a sûrement vue ses parents mourir sous les balles de Han'Cho. Son vêtement était trempé. De sueur, mais aussi de larmes. Je l'ai prise dans mes bras.
« Ne m'abandonne plus jamais. Promet-le.
- Plus jamais Aya. Je te le promet. Allez viens, ta grand-mère nous attends. »
Elle avait des cernes pas possible. Elle tenait debout avec peine. Cela doit faire quelques nuits qu'elle n'a pas dormit. Je la prends sur mon dos. Elle pèse pas lourd. Elle s'endort aussi tôt. Que j'adorerai dormir comme elle. Allez en route.
On marcha de cette manière durant une bonne demi-heure. La maison de Goya était à quelques rues de là. Mais
« ALERTE ! INTRUS EN VUE !
- Butez-le ! »
Là apparût Phalanges, un des seconds de Ha n'Cho, une brutasse énervé. Je sais pertinemment que ses poings seront pour ma tronche et Aya. D'ailleurs, elle se réveille en sursaut.
« Aya, file chez Goya, maintenant !
- Mais ?
- Pose pas de question, ils veulent ta peau, je les retient, ne te retourne pas, court !
- Ok. »
Pour une fois elle pose pas de questions ou de mais. Je suis fière d'elle. Quatre types m'arrive dessus. Je vais devoir faire des cabrioles. J'effectue un salto aérien. Juste pour la classe. J’atterris derrière eux, je plante le plus à gauche, je donne un énorme pain à son voisin. J’agrippe le flingue de mon macchabée, je tire sur les deux autres. Et j'achève le dernier. Trois secondes. Je suis rouillé. Une détonation retentit, et une balle me traverse l'épaule. Une deuxième détonation, deux côtes qui partent en lambeau. Je m'effondre par terre.
« Je l'ai eu patron.
- Bien mon pote. Banana split pour tous le monde.
- OUAIS ! »
Je me vide de mon sang peu à peu.
« Euh, boss, c'est normale des cailloux qui bougent ?
- Euh ? Bonne question. Détruisez moi ça ! »
Quels cailloux ? Oh non, elle m'a désobéit, je vais te la corriger aux petits oignons. Enfin bon, pour l'instant elle me sauve la vie.
« C'est indestructible, on se tire ?
- C'est moi qui donne les ordres ! TIREZ-VOUS ! »
J'aperçois un golem, qui me prends dans ses bras. Mais, je m'évanouis... trop de sang... perte connaissance...
Je capte à peine le son de la voix d'Aya, avant de tomber dans les pommes de façon définitive.
« T'en est où là ?
- À mon agonie.
- Si loin ? Eh ben tu chômes pas.
- Papa !
- Viens ici mon ange ! »
Citation de IronOfdragoonsbizarre de voir brouillecaboche défendre la ville ^^ et mille-cinq cent hommes est un nombre un peu élevé non ^^ pour une organisation secrète ^^ En soit l'idée est bonne je n'ai rien à redire.

Je n'ai jamais dit que l'ordre ce contenterait de défendre la ville ^^ Tu ne tardera pas à comprendre qu'elles sont les véritables intentions de l'organisation. Mille cinq cent hommes s'est beaucoup, mais la ville me paraît quand même gigantesque, et je n'ai jamais dis qu'ils étaient tous en service. Et l'organisation ne se veut pas si secrète, au contraire elle cherche à gagner la confiance des habitants. Ravis que ça t'ai plus, l'histoire du Baron boule-de-gras arrive demain ^^
Toutes mes excuses pour ses deux derniers jours. J'ai effectuer différentes activités professionnelles, et j'ai quand même réussi à terminer les histoires, mais pour le moment je n'ai pas accès à mon Pc. Néanmoins les trois histoires des membres des dignes Titans arrivent bientôt ^^
Le Baron-Boule-De-Gras :

C’était une chaude après-midi d’été. Malfoy, un garçon de seize ans, jouait dans son jardin. Il était le fils de deux très célèbres millionnaires à Gadjetzan, Malory et Christopher Boule-De-Gras. Les deux étaient mari et femme depuis une bonne vingtaine d’année, et n’avaient eu que deux enfants : Malfoy, le petit dernier, Eloïse, une jeune fille de maintenant une vingtaine d’année. Malfoy était génétiquement leur fils, mais Eloïse étaie une humaine, et avait été adoptée après une attaque de la part des Dessoudeurs. À l’époque il n’y avait que deux organisations criminelles à Gadjetzan : Les dessoudeurs et la Kabale. La petite avait perdu ses parents qui étaient ralliés au Dessoudeurs, pendant une embuscade de l’organisation de Hancho. Le magna des armes avait chargé un groupe d’hommes et de femmes, d’entrer dans le repère de l’archimage Kazakus, et de tout détruire. Pour cela, il leur avait donné une grosse cargaison d’explosifs qu’ils étaient sensé déposer au portes du repère. Les vaillants membres étaient loin de s’imaginer qu’il s’agissait d’un commando kamikaze, et que des dispositifs de détonation à distance avaient été disposé çà et là dans leur cargaison. Ils avaient chargés l’antre de le Kabale sans se soucier de rien. L’un des amiraux des dessoudeurs avait admiré la scène de loin. Il était à côtés de Don Hancho quand cela s’était produit. Ce dernier tenait dans sa main le détonateur. Il avait expliqué à l’amiral qu’il ferait tout exploser une fois que les explosifs seraient mis en place. L’amiral avait donc regardé la scène très confiant et convaincus que Hancho ne ferait exploser explosifs qu’une fois les membres suffisamment éloignés. Si seulement il avait sus. Les membres étaient arrivés en face du repère, et s’étaient disposer devant la porte. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que derrière eux se cachaient une centaine d’hommes des dessoudeurs, prêt à ouvrir le feu. « Voilà une opération rondement menée, monsieur Hancho. Il ne leur reste plus qu’à déposer leurs explosifs et rejoindre les autres, et l’opération pourra commencer. » Avait dit l’amiral à Hancho.

- Il semblerait en effet que cette opération se passe sans accros. Vos hommes sont vraiment vaillants, mais je trouve un brun naïf. Avait répondus le chef des dessoudeurs.

- Que voulez-vous dire par là ?

Eloïse se tenait au pied de l’amiral et regardait la scène intriguée. Elle avait alors douze ans.

- Marshall ! je ne pense pas que ce qu’il va se passer soit très adaptés pour une enfant de cet âge. Emmener-là à l’intérieur ! avait continué Hancho.

Un homme guépard s’était exécuter, et avais pris la fillette par la main pour la faire rentrer. Elle avait résistée.

- Mais si papa et maman ne craignent, ça me dérange pas de voir ça ! avait protesté l’enfant. J’ai douze ans, j’ai plus peur !

Hancho s’était accroupis devant Eloïse. Il l’avait longuement regardé, et avait même caressée sa joue.
- Malheureusement…papa et maman ne reviendrons pas. Avait-il lâché, avant d’appuyer sur le détonateur.
Une énorme explosion retentis, désintégrant les hommes qui transportaient les bombes. La porte fut détruite, entièrement, et de nombreux démons et laquais sortirent. Le père d’Eloïse avait confié ses bombes à l’un de ses collègues, et était resté en retrait, afin de guetter l’arrivée potentiel de membres de la Kabale. Il s’était alors fait soufflé par l’explosion. Il n’était que blessé, et comportait de nombreuses brulures au troisième degré. Il se releva péniblement, et vit un centaine d’homme face à lui. Ils braquaient tous une mitrailleuse sur lui. En vérité ils visaient les démons derrière lui, même s’ils l’avaient remarqué. « Attendez…je vous en supplie…je suis encore vivant… » Avait-il dit, en vain. Une volée de balle le transperça de toutes parts, continuant leur route pour venir se loger dans la chair démoniaque des membres de la Kabale qui sortaient des décombres.

De son côté, l’amiral ainsi que l’enfant contemplaient l’horreur qui se tramait devant eux. La petite était stoïque, mais l’amiral protesta : « Hancho ! Qu’est-ce que ça signifie ?! Mes hommes étaient encore sur place ! Et l’un deux avait survécus ! Vos hommes luis-on tirer dessus, s’est inadmissible ! J’exige des explications ! ».
- Voilà ce que j’entendais par un brun crédule. Néanmoins je constate que vous n’êtes pas d’accord avec mes actes…pourquoi donc ? avait demandé Don Hancho d’un ton ironique.
- Mais vous venez de tuer mes hommes…vos hommes !
- Ces incapables restent avec les incapables. Je ne les ait jamais considérés comme des membres à part entière, ils étaient plus de pantins à ma solde, gouvernés par un incapable !
- Quoi ?!
Don Hancho sortit un revolver de sa poche et le braqua sur l’amiral :
- J’ai décidé de détruire votre brigade, amiral Gate. Vous en savez trop, cela pourrait nuire à mes plans. Bon voyage. Ajouta Hancho avant de tirer. La balle siffla et vint se loger dans le front de l’amiral Gate qui s’écroula devant l’enfant, toujours bouche-bé.

Le meurtrier regarda une dernière fois la petite avant de se détourner du regard. « Mettez-moi cette salope d’incapable, fille de minables petits idiots, à la rue. Je ne veux plus la voir ici. ». Elle s’était laissé faire, et l’homme guépard l’avait lancée dans la boue tel un misérable déchet. La fille de douze ans seulement, était maintenant livrée à elle-même dans les rues sombres et dangereuses de Gadjetzan. Son unique espoir était de trouver quelqu’un qui veuille bien la protéger. La première nuit fut atroce. Un groupe d’orc de passage la remarquèrent. Elle était totalement démunie et très vulnérable. L’un deux fit aux quatre autre : « Les gars, ça vous dit de prendre du bon temps ? ». Ils avaient alors tous acquiescés. L’orc ayant fait la proposition s’avança vers elle. « Mais dis-moi beauté, tu serais pas un peu perdue ? Mes gars et moi ont veux bien t’aider à retrouver ton chemin, à condition que tu nous donnes un peu de bon temps, si tu vois ce que je veux dire. »
- Laissez-moi tranquille ! avait répondus la fillette.
La réponse ne fut pas au gout de l’orc qui la gifla violement, l’envoyant au sol.
- Tu vas obéir petite salope ?! lui dit-il en la prenant vers lui, par les cheveux. C’est bon les gars, venez !
Le groupe d’orc l’enfonça dans une ruelle. S’en suivirent attouchements intimes, bizutages, et autres pratiques sexuelles ignobles pour un enfant de cet âge. Une fois leur « affaire » terminée, les orcs partirent, laissant la gamine dans la sombre ruelle ou avait eu lieu le viol. La journée passa. Elle était totalement déshydratée, mais incapable de bouger : les orcs lui avaient cassé les jambes ainsi que les bras. Il fallut attendre le fin de journée, pour qu’un couple d’hommes-morses la remarque, et aient pitié d’elle. Le couple la ramena chez eux, et lui offrirent les soins nécessaires.

Quatre jours passèrent, après leur première rencontre. Le couple la traitait bien, presque comme leur enfant. Malfoy n’avait maintenant que dix ans. Pourtant, malgré son âge enfantin, il était tombé profondément amoureux de la magnifique jeune fille. Il était toujours à son écoute, à son chevet. Lorsqu’elle lui avait appris ce que ses orcs lui avaient fait, il faillit défaillir. C’était ignoble. Comment pouvait-on faire ça à une enfant ? Il lui jura de la protéger. Eloïse l’appréciait beaucoup. Elle aimait voir le sourire de Malfoy, ainsi que ses yeux d’ange qui le rendaient si adorable. Il était un peu gras, mais les encouragements de sa bien-aimée le forcèrent à apprendre le maniement du sabre et de l’épée. Il fit, au court de son entrainement aux côtés d’un certain Shaku, la connaissance d’un jeune elfe nommé Yabutô. L’elfe avait un charisme incommensurable. À côté du Dojo ou Malfoy, Shaku, et Yabutô s’entrainaient, se trouvait un centre de sport de combats à main nues. De nombreux affrontements avaient régulièrement lieux, et Malfoy était réputés être un adversaire impitoyable.

Un jour, il proposa à Eloïse de venir assister à son entrainement. Deux ans avaient passés depuis leur première rencontre, et ils se considéraient maintenant comme frères et sœurs. Mais Malfoy continuait de l’aimer profondément. L’entrainement se passa normalement, sans accros, jusqu’au moment ou un jeune homme de quinze ans siffla dans le dos d’Eloïse. Cela eut pour effet d’interpeller, non seulement Eloïse, mais aussi Malfoy. Le jeune morse voulut donner une leçon au garçon, mais à peine le duel fut engagés, que Malfoy reçus une violente droite de la part de l’humain. Malfoy s’écrasa à terre. Il reçut ensuite un coup de pieds dans les parties génitales et se tordis de douleur. Puis un deuxième en pleine face, puis un troisième en plein ventre, et ainsi de suite. Shaku n’était pas là ce jour-là, et Yabutô refusait fermement de s’interposer, jugeant le duel « gagnable » du côté de Malfoy. Ce ne fut qu’au moment où l’humain se munit d’un couteau, qu’un worgen musclé, d’une année de plus que l’agresseur, s’interposa. Il saisit le couteau et l’enfonça dans la cuisse du jeune homme. L’agresseur tomba à terre. Le worgen pris soins de flanquer un coup de pied dans le couteau, afin de l’enfoncer encore plus. Un cri de douleur retentis. « Mec ! Je vais mourir ! » Protesta le jeune homme. Le worgen répliqua : « Tu vas t’en remettre. Lui, probablement jamais. Il a les côtes cassées, et la colonne vertébrale endommagée, abrutis. »
Eloïse regardait la scène impuissante. Elle était horrifiée par ce qu’il venait de se produire, mais ne pouvait rien faire : trop d’émotions d’un coup. Le worgen pris dans ses bras Malfoy, et le conduisit jusqu’à une table. Malfoy était gravement blessé, et râlait de toutes ses forces. Le worgen contempla l’étendus des dégâts. « Appelez un médecin ! Je ne peux rien faire pour lui. Yabutô, rends toi utile, vas le chercher ! »
- Starwolfen ! depuis quand devrai-je t’obéir ? répliqua orgueilleusement Yabutô.
- Mec ! ravale ta fierté, il va peut-être mourir si tu vas pas chercher ce foutu médecin !
- Et bien qu’il crève, il avait qu’à être moins faible ! rétorqua Yabutô.
Eloïse était paralysée et ne pouvais rien faire. Soudain, elle senti une main velue et touffue. Une vieux pandaren se trouvait derrière elle. Il avait un pelage magnifique, et portait un couvre-chef bien typique de Pandarie. Il regarda Malfoy. Il s’approcha de lui, et récita quelques incantations. La douleur causée par les coups du jeune homme partis prestement. L’autre jeune-homme se tordait de douleur et supplia le pandaren de le soigner lui aussi. Ce dernier resta sourd aux appels répétés du garçon. Il s’en y sans dire un mot, laissant les jeunes élèves à leurs affaires. Starwolfen était fou de rage, et estimait que le pandaren n’était qu’un enfoiré, qui avait refusé de venir en aide au garçon blessé. « Mais ! Il ne va pas l’aider lui-aussi ?! » S’exclama-t-il, furieux.
- Il va s’en sortir. La douleur empêchait de respirer, et il serait probablement mort asphyxié à l’heure qu’il est. Expliqua Eloïse.
- Ce n’est pas une raison ! rétorqua Starwolfen.
La plupart de ses compagnons mirent un terme à la discussion, en partant, laissant le worgen seul.

Quelques jours plus tard, Malfoy s’était remis de ses blessures, et avait repris l’entrainement. Eloïse le rejoignis au Dojo. Elle savait qu’il allait mieux, mais culpabilisais beaucoup dû au fait qu’elle n’ait rien pu faire. « Tu vas mieux ? » lui demanda-t-elle, timidement. Malfoy ne répondis pas. Il sourit simplement. Bientôt, il changea d’apparence, et la silhouette de Yabutô apparue. Il avait les yeux rouges, et ses oreilles remontaient comme un démon. Des crocs se distinguaient, et des sortes d’écailles avaient poussées sur ses mains. Il fixait Eloïse, malicieux.
- Yabutô, ça va ?
Yabutô ne répondit pas. Il dégaina son sabre et fonça sur Eloïse. Cette dernière sortit un petit couteau de sa poche, et s’interposa face à son agresseur. La lame du sabre de Yabutô glissa sur le couteau d’Eloïse, avant de remonter se planter dans sa poitrine. Yabutô sortit sa lame, et lui trancha la tête. S’est alors que Starwolfen entra. Il vit Yabutô tenir dans ses bras le corps sans tête d’Eloïse. Des larmes lui montèrent aux yeux. « Ya…Yabutô…s’est toi qui a fait ça ? ». Le tueur lui balança son sabre. Starwolfen l’intercepta.
- Maudit sois tu !!!!!! s’écria-t-il.
- Ah oui ? demanda Yabutô, confiant.
Le worgen chargea, le sabre en main. Mais à peine s’était-il approché de Yabutô, que des fils invisibles s’enlacèrent autour de lui. Il n’était plus en état de se mouvoir. Yabutô continua. « Quel dommage…Starwolfen, le tueur de la belle et innocente Eloïse Forge-grenaille...navrant »
- Crève enflure ! répondis Starwolfen, impuissant.
- Malheureusement s’est aujourd’hui que nos chemins se séparent, Starwolfen. Tu ne seras plus un obstacle pour moi, et je pourrais ainsi déchaîner ma puissance sur Gadjetzan !
- Chô ne te laissera pas faire !
- Chô ? Se misérable petit chroniqueur ne me fais pas peur, pas plus que Chen. Bien, tu m’excuseras, je dois aller prévenir les autorités pour qu’ils t’emmènent. A bientôt, Starwolfen.
- À bientôt ?
- Je veux être là pour ton exécution.
À ses mots, Yabutô se dirigea vers la sortie du Dojo. Il courut vers le commissariat le plus proche. Mais en chemin il s’arrêta devant le bureau du commissaire-priseur Beardo. « Il ne se doutera de rien, quel idiot. » pensa-t-il. Il pénétra dans les locaux de Beardo, et annonça fièrement sa capture. « Oh, voilà qui est bien joué de votre part ! » s’exclama Beardo, ravis. Il fit envoyer certains de ses hommes au Dojo. Starwolfen était capturés, et pouvait s’assurer d’être exécutés en public dans les jours prochains.
Ce fut une terrible nouvelle pour Malfoy, qui sombra dans une profonde dépression. Voyant cela, Beardo demanda à parler au garçon, maintenant devenu gros et gras. « Elle te manque, n’est-ce pas ? » lui demanda Beardo, plein de projet dans la tête. Malfoy ne répondit pas.
- Écoute mon garçon, j’ai une proposition. Ne voudrais-tu pas faire partie de la garde personnelle de Gadjetzan ? Afin de protéger la ville de raclures comme ce maudit Starwolfen, qu’en dis-tu ?
- Je pourrais tous le tuer ? demanda calmement Malfoy.
- Sans aucune pitié. Ils seront tous à toi.
Malfoy se leva, et sortit un couteau de sa poche. « Il appartenait à Eloïse. »
- Je suis sincèrement désolé, Malfoy, s’est un évènement tragique que voilà. Dire que tout ça a été créé par un disciple de la Kabale…repoussant.
- La Kabale, s’est un danger n’est-ce pas ?
- Ils doivent tous mourir.
- Quand est-ce que je commence le service ? demanda Malfoy, aveuglé par la vengeance.
- Bienvenu parmi-nous, mon garçon. Demain dès les premières lueurs. Répondit Beardo, ravis.
- S’est Brouillecaboche qui vous envois n’est-ce pas ?
- Tu as du flair.
- Dites-lui, que je lui jure allégeance s’il me donne l’autorisation d’exterminer la Kabale.
- Hihi, je le lui dirais, mon garçon. Dit Beardo remettant son couvre-chef. Gadjetzan sera vidée de tout ce sang impur. Plus que deux.
Chapitre 3

Je me réveille doucement, dans une pièce sombre. Les barreaux aux fenêtres filtrent la lumière. J’entraperçois le jour. Un rapide tour de tête me fait comprendre que je suis dans un sellier. Un matelas et une couverture m'attendait. Des bandeaux, ouille, mes blessures me font encore mal. Bon déjà, je suis en territoire ami. J'entends des pas. Je vais savoir enfin qui sont mes sauveurs.
« Frérot ! J'ai cru que je te perdrai à jamais, dit-elle en me sautant dessus.
- Hariken chéri, plus jamais de frayeur comme ça. S'il te plaît. Ma mère, toujours aussi soucieuse.
- Bon de te revoir parmi les vivants.
- Merci de me tutoyer. Dame Goya.
- Tu avais raison, te vouvoyer me serai impossible. Surtout après avoir sauvé Aya. Jamais je ne l'oublierai.
- Tant mieux. D'ailleurs, où est-elle ?
- Elle part se préparer, elle veut s'entraîner au sabre.
- Sans moi ? Eh ben, elle a pas peur de se couper un bras.
- Depuis quand elle a peur de quelque chose ? Bon viens Yoshi, on va préparer le repas. Et laisse ton frère tranquille.
- D'accord maman. »
Elles sortirent. Goya lava mes dernières plaies. J'entendais gémir dehors. C'est Aya qui essayait de faire de l'escrime. Des noms d'oiseaux volaient. Elle galère cela se sens. Je vais devoir l'aider.
Goya me fixait. Je savais ce qu'elle voulait de moi. Elle s'en alla sans dire un mot. Je devais rendre le trône à sa petite-fille. Mais on y arrive uniquement avec un solide entraînement. Et c'est à ce moment qu'arriva ma mère. Sa famille était apparentée à de grands philosophes. C'est un trait de caractère qui c'est conservée. Toujours des grands principes. Elle fut élève du Chroniqueur Cho.
« Hariken, je veux te parler. Je sais que Goya veut revoir Aya à la tête de la mafia. Je sais aussi qu'elle veut que tu la pousses dans ce choix. Écoute moi, dans le fond, je suis sûr que pour toi, cette décision est stupide et...
- Maman, nous n'avons pas toujours le choix.
- Oh que si.
- Dans cette ville une seule loi compte. C'est celle-ci qui a tué papa.
- Donc tu limites notre existence à cette seule loi ?
- Tu veux l'élargir à quoi ?
- Au choix que chaque être peut faire. »
Elle s'en alla. Je lui en veux pas. Après tous, elle a le droit de croire encore un peu à l'humanité. Même si moi-même, je commence à douter de moi. Je suis en proie au doute.
Citation de Un narrateur externeVous avez peur la nuit, vous avez peur de voir vos cauchemars les plus horribles prendre vie ? Eh bien lisez donc ceci.


Prêtre de la serre de la Kabale


« On a adorer un monstre ! Détruisons-le !
- Il est vivant ! Tu comprends !
- C'est une abomination ce truc ! »

Quand je suis entré dans la Kabale, je pensais juste faire des popotes. Mais un appel, plus fort que moi, plus fort que nous, nous a poussé vers ça. Laissez moi racontez cette histoire.
L'inspecteur qui venait de m'arrêter ne comprenais pas encore toute l'étendue de l'affaire. Normal.
Je regardais ce type, un corbeau avec une cape. Il disait avoir vus une abomination. Suis habitué à ce genre d'affaire.
« Alors vous dites que vos comparses et vous même avez crée une chose capable de détruire Azeroth ? Expliquez moi-ça.
- Dites-moi où je suis d'abord.
- À Gadgetzan. Où voulez-vous être ? Allez racontez moi, depuis le début.
- Je suis né le.
- Quand je dis début, je parle du début de l'affaire.
- C'est quand je suis arrivé en ville. Et que des choses surnaturelles ne commencent à apparaître ».
Il buvait son café. Une tasse blanche, une blouse blanche. Il se croyait supérieur.
Tu vas enfin cracher le morceau oiseau de malheur. Pourquoi former des prêtres animaux. Avec la cervelle de moineau qu'ils ont.

À la base, nous n'étions que des prêtres de Hurlevent. « Purifiez la ville. » Notre mot d'ordre. Celui de notre ordre. Beaucoup on fait partie de la croisade écarlate. Et ont servis sous Thalnos, dans le service de « reconversion ». Moi je viens de finir mes études de théologie. Je cherche une cause à défendre. Les premiers temps, nous avons construit notre temple. Notre ordre avait ce nom : « Temple écarlate ». Nous soignions et aidions les gens qui venaient à nous. Nous étions envahit de personnes qui cherchaient un refuge. Dans le quartier on essayait d'organiser fêtes et cérémonies religieuses. On célébraient des mariages comme des enterrements. Enfin, surtout des enterrements. Mais on luttait contre la corruption de cette ville. On a fait barrage, on a sauvé des gens en proie à la mafia pandaren de l'époque et à Han'cho.
Là l'inspecteur se leva, pris une photo sur l'étagère à côté de la porte. Je me demande pourquoi. Et là, il me la met devant le bec.
« C'est quoi ça ?
- Notre Dieu. Un ancien oracle. Venu professer la parole des titans. Il est mort, massacrer par les adorateurs de C'thun. Il contredisait leurs paroles. »
Il me regarde l'air satisfait. Comme si il venait de remporter une bataille.
Ce type parle sûr de lui. Il veut m'entourlouper ou est-il sérieux ?

Cela faisait six mois que notre mission avait atterrit ici. Des frères se couchaient plus tard que d'autres pour nourrir les pauvres qui cherchaient refuge. Régulièrement, des mafieux demandaient si on avait vu tel ou tel type dans les parages. Notre silence était notre meilleure arme contre ces brigands. Jamais répondre. D'ailleurs, nous nous ne demandions jamais les noms de nos protégés. Pour éviter de parler sous la pression. Un jour, un hiver terrible. Une nuit de pleine lune horrible. Un homme arriva. Il n'avait que pour habit un pantalon. Il gisait sur le parterre du Temple. La neige le recouvrait presque complètement. Il était gelé. Moi et frère Dorn sommes allés le chercher. Nous l'avons allongé sur un lit. C'est alors qu'il m'agrippe ma tunique dans un sursaut violent pour me dire : « J'ai vu la bête ! J'ai vu la bête essayer de dévorer. Protège-nous... »
Il s'effondre d'épuisement avant de finir sa phrase. Tout le temple se réveille. Tout de suite, le père supérieur prend en charge le corps avec notre médecin, frère Greywolf. Cette bête dont il parle, nous intriguent. De quoi parlait-il ? Personne n'avait de réponse. Le lendemain, je suis allé à la bibliothèque, à la recherche d'informations. Notre bestiaire est vaste en Azeroth. Mais ces blessures. Des empreintes dans la chair. Si profondes, si grandes. Cet chose n'avait rien de naturel. Était-ce surnaturel ? Je n'en savais rien. Le frère Gerywolf nous assura la chose suivante, tous ceci n'a rien de surnaturel, ce n'est qu'une supercherie pour nous faire peur. Une manigance de voleur pour nos déstabiliser. Mais, le mois suivant, toujours sous une nuit de pleine lune, un nouvel homme arriva, avec des blessures semblables. Il mourut aussi dans la suite. Il répéta la même chose. Exactement.
Vraiment cool toutes ces histoires!
J'aimerais bien en faire une moi-aussi, est-ce que c'est libre à tout le monde?
Si non: Je me contenterai de lire :)
Si oui: Est-ce que ça doit être cohérent aux histoires déjà écrites et au lore de Warcraft ou je peux y aller un peu comme je veux?
Citation de Marwill123Vraiment cool toutes ces histoires!
J'aimerais bien en faire une moi-aussi, est-ce que c'est libre à tout le monde?
Si non: Je me contenterai de lire :)
Si oui: Est-ce que ça doit être cohérent aux histoires déjà écrites et au lore de Warcraft ou je peux y aller un peu comme je veux?


Oui c'est ouvert à qui le veut :)

Alors cohérente aux histoires déjà écrite. Bah non pas besoin. Moi et trollandgobelin avons écrite deux versions différentes de la jeunesse d'Aya donc bon.

Cohérent au lore de WoW, alors on essaie un maximum. Personne chez nous n'en connais un bout et moi je suis le seul je crois à en connaître un peu. Mais en général, comme on utilise des cartes sans histoires (c'est le but) on rentre assez peu en conflit avec le lore. D'ailleurs on l'utilise plus comme appuie (comme des événements majeurs).

Mais rassure toi ! Il n'est pas obligatoire de connaître le lore. On évite de trop le modifier dans les grandes lignes après mais après tous je fais bosser reno pour Hurlevent donc :)

Donne moi la carte sur laquelle tu souhaites bosser puis let's go.
Iron, je connais aussi le lore ! Je suis vexé ^^ ;)

Sinon, je dévoile mon histoire ptit a petit sur mon topic des 3 infos du jour. Mais ne vous inquiétez pas, quand elle sera totalement dévoilée, je la posterai dans la TAA :)

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